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03/02/2011Cette critique a été rédigée il y a plus de 14 ans.9 personnes sur 13 ont trouvé cette critique utile.Second Life. Votre deuxième vie.
Votre monde, votre imagination. C'est tout à fait ça.
La créativité, l'originalité et la liberté sont les bases de Second Life.
Vous faites absolument tout ce que vous voulez, ce monde vous appartient.
Graphiquement, le jeu restera époustouflant, toujours en tête des meilleurs graphismes. Il est en évolution constante, car des milliers et des milliers de personnes contribuent à cela.
Peut être que vous aussi, un jour, vous pourrez créer des peaux pour avatars, de nouvelles textures et de nouveaux vêtements, et vous aiderez ce monde à continuer de vivre et d'évoluer.
Mais voilà, Second Life n'est pas un jeu, Il n'y a pas de but, il n'y a pas de missions. Vous vous inscrivez, vous débarquez, et vous vous trouvez quelque chose à faire.
Je dirais que Second Life est une extension de notre vie. Les relations entre les personnes sont plus fortes justement à cause de cette notion de " Seconde vie "
Voilà qui complète mon titre.
SL est un piège pour les faibles. Beaucoup y cherche un " refuge " ou un " Jardin secret " (comme dans pas mal de MMO) et finalement, ils n'y trouvent que des problèmes humains, d'énormes problèmes humains qui submergent vite l'avatar et la personne qui le contrôle, par la même occasion.
Ce n'est pas comme dans les autres MMO où vous discuterez de stratégie, d'armes et de combat.
On vous demandera comment s'est passé votre journée, si vos enfants vont bien, ce que vous avez envie de diner, ou encore, ce que vous avez prévu de faire sur SL en soiré. ne danse peut etre ? ou encore un concert ?
Une personne qui me dit qu'elle n'est pas attachée à ses amis ou son partenaire en Jeu est une personne qui me ment.
des liens, plus ou moins forts, naissent au fil du temps. et comme je l'ai déjà dit, il y a beaucoup de gens seuls en RL, et beaucoup sont sur SL. Ces gens là, de la jeune mère de famille souvent seule à la maison, au très jeune adulte renfermé, sont des personnes, qui, mentalement, sont en danger sur cette plateforme. Sans vouloir généraliser bien sur.
Mais après 4 ans de vie sur Second Life, j'en ai vu, comme on dit chez moi : Des vertes et des pas mures.
Alors quand la vie réelle de quelqu'un est déjà bancale, venir sur SL s'est signé un contrat de dépression pour les 6 prochains mois.
En bref, SL est une plateforme qui offre des possibilités infinies et étonnantes. Chacun y trouve son compte : Business, culture, divertissement.
A consommer avec immense prudence et modération tout de même.9 personnes ont trouvé cette critique utile. -
27/11/2010Cette critique a été rédigée il y a plus de 14 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Pour avoir commencer les MMORPG, par Ultima Online et Star Wars Galaxies et puis pas mal d'autres depuis...
Je dirais suite à mon premier soir de connexion, que je trouve quasiment que des points positifs à ce titre.
Les graphismes, je les trouve très bien pour le genre, ils sont fins à tendance réalistes. Les effets d'ombres, l'alternance de jour et nuit. Ca rend très bien.
L'ambiance oppressante (je me suis fait attaquer par au moins deux joueurs ce soir en noob zone) , c'est tout a fait normal pour ce genre jeu. Ca oblige à sortir en ayant à l'esprit qu'on va peut-être pas revenir avec son sac aussi plein qu'en partant (donc à partir avec le minimum vital et à faire des réserve en banque).
J'ai beaucoup lu a propos de la bande son... perso, j'y trouve rien de choquant, la "mélodie" d'ambiance est légère et pas agressive. De toute manière, il faut toujours avoir l'oreille tendue pour détecter si quelqu'un vient vers vous, npc ou P. Coté bruitage rien de spécial à signaler, ça roule pour moi.
La maniabilité est spécial, ça veux pas dire naze. Faut juste s'y faire, le mode de visé c est comme AoC, on vise, mais le reste c est le nivo de skill (nivo des differente comp) qui le fais. Ce coté là, me faisait un peu peur, et finalement on se prend très vite au jeu. Pour ajouté au coté oppressant du jeu, vous ne pouvez pas dezoomer plus que ça... donc impossible de voir deriere sans etre obligé de se retourné.
Le monde semble vaste, et sans instances, ni autre truc réducteur a mon sens.
Pas de protection du joueur, donc si tu fais le malin ou que tu fais pas attention, et que tu te fais Ganker (par des mobs ou des joueurs) , bah tu fini au point de rez a poil, et c est bien fais pour toi.
Le moins, qui n en est pas un... mais bon pour gagner de l argent faut quand même des joueurs... C est que ce mmo cible a mon avis des joueurs expérimente, et il y de petite choses tel que le manque de tutorial ou la protection de seulement une heure... Doit dissuader pas mal de joueur qui débute dans le jeu. Donc j ai eu quand même l impression que ça manquais de nouveaux.
Et puis, ça je l ai pas encore vu sur ce titre... mais c est certain.
Vu qu il n'y a pas a ma connaissance de skill Cap (limite en skill) c est la porte GRANDE ouverte au Macroteur... La ou EVE et Perpetuun donne des skills point par rapport au temps sans limite de skill. Et que dans Ultima Online, on pouvais aussi macroté, mais il y avais une limite en nombre de Pts de Skills (Genre 8 skills a 100 % max).
J ai un peu de mal a comprendre, le pourquoi... de pas de limite. Bien qu en tant que joueur, c est toujours agréable de se dire qu on vas pouvoir devenir très bon partout.
Niveau de la cohérence et interdépendance des joueurs, c est quand même très moyen.
Bref, un titre que j aimerai bien voir grandir. Et que je trouve très intéressant.3 personnes ont trouvé cette critique utile. -
20/05/2010Cette critique a été rédigée il y a plus de 15 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par koyoko08Ce jeu est mon premier mmorpg, cependant, je n'en ai pas trouvé des équivalents dans le genre manga gratuit.
Jeu avec bon potentiel, mais le jeu n'est pas suivi, la communauté n'est pas écoutée et il rencontre beaucoup de bugs, pas corrigés.
Il reste cependant chaleureux, la mentalité y est bonne, comme mauvaise.
Jeu basé beaucoup sur le Cash Shoping, il est évident qu'il n'est pas obligatoire, cependant il est essentiel. Si vous voulez vraiment exploiter le jeu, vous devrez user des euros. Ce n'est pas un jeu pour les 'pauvres'. Et les persos qui arrivent loin dans le jeu, ce sont rarement des jeunots sans sous.
De la patience est nécessaire, surtout lorsqu'on n'est pas écouté par nos chers Maitres du jeu/développeurs.
La plupart des joueurs baissant les bras devant la difficulté, le sentiment d'impuissance par rapport à certains qui n'ont pas forcément le mérite d'être là où ils sont comparés à d'autres montrés du doigt (beaucoup de dépenses au CS).
La maniabilité y est bonne, on s'adapte très vite, les continents sont intéressants mais un peu vide.
Pour gagner de l'expérience il faut aimer le farming de mobs ! Souvent répétitif et ennuyant, trouver une occupation pendant votre temps d'xp sinon... on s'endort : )
Se faire des sous n'est pas si simple comme certains l'on dit, et plus on a de sous, plus on en a besoin car sa part de plus en plus vite.
Graphismes sympas, il y a mieux, mais il me tape assez dans l'oeil.
Instabilité des serveurs.
Les quêtes sont pauvres, seules les instances sont sympathiques, mais il faut s'acharner dessus.
Une fois une guilde dominante mise en place, dure de la détrôner. Vous voulez faire votre propre guilde ? Courage, car les bons joueurs partiront un jour si vous n'êtes pas 'au top', et sans gros niveaux, vous ne ferez pas la partie la plus intéressante du jeux en HL. Etre BL, signifie xp et s'équiper sinon... rien...
Enfin, un bon jeu qui mérite d'être mieux géré et développé, surveiller et corriger. La communauté devient agacée des bugs et du manque d'écoute.Publié le 20/05/2010 05:02, modifié le 20/05/2010 05:083 personnes ont trouvé cette critique utile. -
13/05/2010Cette critique a été rédigée il y a plus de 15 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Mabinogi, se base sur le mabinog : les 4 branches du mabinogi, un recueils d'histoires moyen galloise, datant de l'époque celte.
Même si sa base est cela, il se réfère à la mythologie celte dans son ensemble et pas uniquement cela.
Mabinogi Europe (car les autres version ont un blocage d'IP) , est un excellent MMO, basé avant tout sur le social, a l'image de Dream of Mirror Online.
Les deux d'ailleurs partagent des graphismes en cell shading, et des cinématiques de jeu, servant a leur background respectif.
A cela près que Mabinogi est particulièrement soigné, en comparaison de Dream of mirror.
Les musiques sont calmes et très douces, certaines plus vives, mais n'agressent jamais les oreilles.
Malgré cela, à force, celle-ci deviennent par moment soulantes.
Après installation du jeu, on rentre dans le vif :
Deux serveurs (Morrighan et Maccha, respectivement des déesses celtes de la mort et des batailles) , le choix est libre, même si la communauté francophone est plus particulièrement sur Maccha.
La création de personnages est poussée, comparativement a une floppée de ptit F2P : couleurs de peau, coiffure (forme/couleurs) , yeux (forme/couleurs) , age (taille/stats).
Il faut savoir qu'un personnage peu âgé sera plus faible qu'un personnage plus âgé (8-17 ans). Il est dès lors conseillé, si on a jamais joué a Mabinogi, de prendre un personnage de 17 ans.
Premièrement parce que le rebirth (20 ans) , sera moins long a obtenir, deuxièmement parce que les statistiques sont meilleures, même si au final, il est plus intéressant de commencer jeune.
Les quêtes :
Il y en a une pléthore, portée par un oiseau, la plupart sont facile a comprendre, malgré la langue de Shakespeare. Lire correctement la quête parfois peut amener à trouver correctement comment la résoudre. Cela va du combat a simplement porter un message, récolter, moudre... Elles sont donc très hétéroclites et sympathiques, certaines menant a des cinématiques amusantes.
Il y a la quête principale (souvent en rose dans le carnet) , les quêtes journalières, qui ont souvent la particularité d'être chronométrées, quêtes solo et les quêtes de groupes, et bien entendu les quêtes de donjons.
Les donjons :
Le système de donjon est très intelligent : les PNJ donnent ou vendent des coupons. Ces coupons sont à aposer sur la statue de la déesse Danan. Dès lors, la réalité autour de notre personnage se grise et on entre a l'entrée réelle du donjon.
A ce moment on peut encore grouper, mais si on descend les escaliers, pensez que le donjon sera alors à vous seul, et non pour votre groupe (donc les pressés sont priés de faire attention). Les donjons sont une succession de salles à la Dungeons et Dragons : un porte/monstre/trésors basic, de ce que j'ai pus voir. Chaque successions de salles possède un coffre, contenant de l'or, mais faisant apparaitre les monstres : un seul a souvent la clé de la porte suivante, et ainsi de suite, jusqu'au Boss. Certains coffres finaux, offrent la possibilité de choisir entre un objet ou de l'or.
L'inventaire :
Le bémol avec le bug graphique des livres (rien n'apparait, visiblement, le texte ne fonctionne que si on possède google ou Explorer 6-7-8).
L'inventaire fonctionne à la manière de celui de Diablo, autant dire que la place est vite remplie, surtout que l'or prend également de la place. D'où : soit le poser a la banque, soit avoir sur soi, une bourse, qui se remplira au fur et a mesure.
Les skills :
Il y a deux manières d'apprendre un skills :
- soit via un livre (livres rare)
- soit via pnj en discutant avec lui
- soit via quêtes
- soit, tout simplement en utilisant certains outils.
Il existe, les skills passifs et actifs mais, surtout des skills combat et vie (sociaux).
Ces derniers sont les plus intéressant à mes yeux et le rebirth aide grandement :
- les skills sociaux, sont : repos/pêche/bucheron/forge/minage/fencing (récupérer de la laine/ des œufs... ) /musique (on a possibilité de créer ses propres mélodies... en midi) /cuisine,...
A terme, tous ont une utilité, mais visiblement, il faudra faire un choix pour certains skills et definir dès la base ce que vous désirerez faire de votre personnage (combattant ou personnage social).
Malgré cela, menez le personnage vers une spécialisation sera longue et parfois laborieuse.
Le drop :
Les monstres lâchent rarement des objets ou autres, le jeu se pose plutôt contre le farming.
L'un des meilleurs exemples est la récolte de soie : les araignées en crée et les laisse tomber sur le sol, donc tuer les araignées ne mène aucunement a droper plus de soie pour la couture. L'or ne se drop qu'en vendant les joyaux (dropables sur les monstres) , soit en donjon ou en quêtes. De ce fait, cela limite fortement le farming de ressources.
Malgré cela, la création d'un personnage social prendra du temps, car a contrario de DOMO, le craft ou la récolte de ressource ne se fait pas automatiquement.
Au final :
Le jeu en lui même est un véritable bijou, dommage qu'il soit seulement en Anglais, car une version francophone aurait été appréciable pour comprendre correctement les petits détails du BG.
A cela se rajoute deux défauts majeurs : l'inventaire fort limité et le bug des livres en jeu (même si on les retrouve sur le wikipedia de Mabinogi).
Les graphismes sont beaux et agréables, et le jeu a une prise en main assez facile et rapide, même si certaines choses ne sont pas toujours des plus évidentes.
Un jeu à conseiller si on aime se détendre, ne pas se prendre la tête et qu'on apprécie le PVE sous toutes ses formes.Publié le 02/05/2010 19:01, modifié le 13/05/2010 15:413 personnes ont trouvé cette critique utile. -
27/11/2009Cette critique a été rédigée il y a plus de 15 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Bonjour à tous,
J'ai eu l'occasion de jouer à WWII pendant un certains temps.
Je vais essayer de faire une brève critique pour vous éclairer un peu plus sur ce jeu.
Introduction :
Un jeu de guerre MMO (seconde guerre mondiale) , une map immense (représentant le grand Nord Est de la France) , plusieurs façon d'aborder une bataille (à pied, en véhicule plus ou moins blindé, en avion etc... ). Le jeu mets un gros point sur le réalisme au niveau combat, dégâts, transport etc...
Les plus :
* Une map énorme, vous avez le choix des batailles
* Plusieurs "classes", plusieurs façons plus ou moins stratégiques pour dérouter l'ennemi.
* Le jeu en Groupe/Guilde peut devenir très vite tactique et immersif.
* Des joueurs matures, vue la "difficulté" de ce jeu.
Les moins :
* Les graphismes, le jeu commence à vieillir.
* En attente de nouveautés In Game.
Les neutres :
* Les joueurs solos risquent de s'ennuyer sévèrement et de passer à coté de beaucoup de choses importantes. Privilégié le jeu en guilde.
Conclusion :
Ce jeu reste une pointe pour les accrocs de la seconde guerre mondiale, du réalisme, de la stratégie de guerre.Publié le 27/11/2009 15:33, modifié le 27/11/2009 15:493 personnes ont trouvé cette critique utile. -
10/11/2015Cette critique a été rédigée il y a plus de 9 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Avant de commencer, quelques précisions : il s'agit ici d'une première impression durant une toute petite semaine de bêta au sein des serveurs EU et US de Webzen. Le jeu n'est pas encore lancé, et mon avis peut évoluer (en bien comme en mal) , notamment parce qu'il n'y avait dans cette phase, aucun cash-shop - les personnages étant wypés avant la vraie bêta-ouverte.
Je ne suis pas un fan inconditionnel des jeux free-to-play - car c'est ce modèle qui sera effectif dans Asta, qui plus est quand ils viennent d'Asie. Il s'agit généralement de jeux pas finis, pas franchement passionnants. J'ai surtout connu des MMO à abonnement, mais quelque-chose m'a attiré dans Asta. Le jeu nous place en tout cas dans un univers fantaisiste reprenant en partie les légendes asiatiques. Deux factions sont disponibles avec trois ou quatre races à chaque fois, ainsi que plusieurs classes plutôt classiques. J'ai choisi Mage car c'est assez classique et cela permet de se faire un avis rapidement sur le gameplay.
Au niveau de l'interface, le jeu fait dans le très classique : si vous avez déjà joué à World of Warcraft, vous n'aurez aucun mal à vous en sortir. Il faut donc cliquer sur l'icone (ou utiliser les raccourcis clavier) pour attaquer. Il y a différentes barres possibles. Pas de combat dynamique comme beaucoup de F2P asiatique, on fait face ici à un jeu vraiment plus classique, mais il n'en demeure pas moins intéressant à jouer. En fait, ce que j'ai apprécié dans ces quelques jours en compagnie d'Asta, c'est la facilité avec laquelle j'ai accroché au jeu. On se prend rapidement à vouloir aller un peu plus haut dans un leveling qui a été semble-t-il réajusté sur la version occidentale. Évidemment, on échappe pas aux traditionnelles quêtes "fedex" ou celles qui nous demandent d'aller tuer "x démons", mais c'est généralement enrobé dans un univers de légendes asiatiques plutôt bien mis en scène. Le leveling est également construit sous la forme de blocs scénarisés avec à chaque fois un objectif final à accomplir permettant de passer à la prochaine zone. C'est un peu linéaire, mais les donjons - relativement accessibles dès le niveau 7 - permettent justement d'apporter un peu de peps à l'ensemble.
Outre les attaques de bases propre au Mage, on peut également gagner de l'énergie permettant de faire grimper une jauge correspondant à un esprit. Celui-ci vous donnera droit à une super attaque que l'on peut utiliser soit dès que vous dépassez sa phase 1, soit en gardant un maximum d'énergie pour dépasser les échelons supérieur et ainsi avoir en votre possession une attaque dévastatrice. Au fil des niveaux, on peut ainsi améliorer son esprit, le fusionner avec un autre, en stocker plusieurs. Si le système de talent et d'âme (le fameux esprit) est bien fichu, le système d'enchantement n'est pas très bien expliqué en jeu. Dès le niveau 1, il semble possible de pouvoir obtenir tous les enchantements, à condition que vous ayez l'argent nécessaire. Il n'y a pas vraiment de difficulté, ce qui est plutôt dommage.
Asta récompense également votre temps de jeu, ce qui n'est peut-être pas quelque chose de nouveau : une fois par jour, vous recevez un coffre, ainsi qu'un autre tous les X minutes/heures en fonction de votre temps passé en jeu. Plus vous restez, plus la récompense est intéressante. A noter que les coffres évoluent en fonction de votre niveau et de la zone.
Visuellement, le jeu utilise le Cry Engine 3. Bon, ce n'est pas pour autant de première fraîcheur, je dois l'avouer, mais ça ne veut pas dire pour autant que c'est moche. Il y a des textures vraiment pas belles, comme celles du sol, mais la plupart des zones offrent des environnements asiatiques et démoniaques vraiment réussis et crédibles. Le tout est servi avec une jolie bande-son qui rappelle Aion (c'est l'un des compositeurs qui a signé la BO d'Asta) , même si certains bruitages laissent à désirer. Pour cette première bêta occidentale, les voix étaient asiatiques, mais le texte en anglais (le jeu sera vraisemblablement traduit en français) , ce qui n'était pas désagréable.
Asta n'est pas parfait, loin de là, il souffre un peu de son aspect générique, mais son ambiance asiatique m'a vraiment plu dans cette première et courte bêta. Il faudra voir ce que donne le jeu sur la longueur : qu'il s'agisse du futur cash-shop, des donjons de haut-niveau etc. Et il y a aussi un problème de taille : le jeu a fermé ses portes en Corée, est-ce que ça signifie qu'il n'y aura plus du tout de nouveau contenu ? Bref, on en reparle dans quelques semaines après le lancement officiel !Publié le 10/11/2015 12:18, modifié le 10/11/2015 12:203 personnes ont trouvé cette critique utile. -
05/09/2015Cette critique a été rédigée il y a plus de 9 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par
MiKa
[Alerte spoil] De par sa nature de suite, cette critique dévoile des éléments des intrigues des deux précédents Danganronpa.
En Février 2014, soit quatre ans après sa sortie japonaise, arrivait dans nos contrées le Visual Novel Danganronpa : Happy Trigger Havoc sur PlayStation Vita.
Fort de son succès critique, sa suite Danganronpa 2 : Goodbye Despair arrivera seulement 7 mois après, toujours dans le même univers, mais cette fois-ci à la plage.
Un an plus tard, voici le premier spin-off de la série : Danganronpa Another Episode, dans un ton encore plus malsain que les précédents épisodes.
Avant d’aller plus loin, un rappel sur les précédents épisodes :
Dans le premier Danganronpa nous incarnions Makoto Naegi, reprenant conscience dans une salle de classe entouré de ses 14 camarades de classe au prestigieux lycée Hope’s Peak Academy, regroupant les élèves les plus talentueux du pays dans leurs domaines respectifs. L’ours psychotique Monokuma, ayant pris les commandes du lycée allait alors les pousser à s’entre-tuer, et notre héros s’improvisait détective afin de résoudre ces meurtres. On alternait alors de très nombreuses phases de discussion avec des phases d’exploration basique, d’enquête et de procès.
Le second, situé cette fois-ci sur une île tropicale, reprenait le même schéma avec de nouveaux élèves, tout en développant l’univers de la série et en créant des ponts avec le premier opus.
Ici, point de huis clos, d'enquête et de réveil d'un héros amnésique, nous voici dans un mélange de Visual Novel, Third Person Shooter, Beat’m All et Puzzle game.
Normale ? Vous avez dit normale ?
Nous nous réveillons dans la peau de Komaru Naegi, sœur du protagoniste du premier épisode, enfermée depuis un an et demi dans un appartement dans la ville de Towa City, sans qu’elle sache par qui, et encore moins pourquoi.
Soudain, un mignon petit monokuma défonce sa porte à coups de griffes, et Byakuya Togami, qui passait par là, lui fournit une arme (un… mégaphone ? ) , et l’invite à s’enfuir tandis qu’il repousse l’attaque de tout un bataillon d’oursons.
Regardez-moi comme ils sont pipous avec leurs petites griffes adorables
C’est alors qu’elle découvre une ville dévastée sous l’attaque des monokuma, puis est finalement (re) capturée, avant de rencontrer 5 charmants enfants d’une douzaine d’années, qui sont aux commandes des monokuma et à l’origine de l’état apocalyptique de la ville.
Après s’être présentés, ils nous expliquent le jeu. LEUR jeu. À votre poignet se trouve un bracelet qui vous désigne comme une cible, et qui explosera à la moindre tentative de l’enlever.
Ces enfants qui s’appellent eux-mêmes les « Warriors of Light » ont un objectif simple : débarrasser la ville de tous ses « démons » pour créer leur paradis. Où en d’autres termes : tuer tous les adultes, de la manière la plus atroce possible, et en priorité les porteurs de bracelets.
L’incarnation du mal.
Et alors que vous êtes parachutée sur le toit d’un hôpital ou une horde de monokuma vous attend, une vieille connaissance du joueur arrive à la rescousse, l’adorable (selon des standards qui restent à établir) Toko Fukawa réduit en charpies les nounours avec ses ciseaux.
C’est alors que le jeu commence. À l’aide de ses ciseaux et du mégaphone qui vous a été confié par Byakuya, vous voici donc partis à la recherche d’une échappatoire pour enfin retrouver votre vie normale !
Vous attendent des phases d’exploration, ou vous pourrez ramasser des livres, munitions, et compétences, et profiter des « décorations » amenées par les enfants qui parcourent la ville.
Lors de votre quête fuir de cette ville, vous croiserez fréquemment des oursons (tout le bestiaire est composé de déclinaisons de monokuma) , qu’il faudra détruire avec mégaphone en visant et tirant avec les gâchettes, en utilisant la fonction la plus adaptée à la situation.
Durant ces phases de combat, on peut également alterner avec Toko (ou plus exactement Genocide Jack) dans un style beat’m all. Ici, le massacrage de bouton carré est de rigueur pour joyeusement découper les monokuma à l’aide de ses précieux ciseaux.
Elle dispose également de coups spéciaux parfaitement délirants (activables avec L+triangle ou L+croix) .Pour l’utiliser, il faudra par contre disposer de batterie dans son taser, sans quoi Genocide Jack retournera dans son sommeil et laissera Toko en plan.
Genocide Jack au rapport, plus violente que jamais
Au-delà des combats, l’essentiel de l’aventure est constituée de discussions, que ce soit en mode Visual Novel classique avec sprites en 2D, avec des modèles 3D, avec des cinématiques 3D ou des cinématiques en animation classique.
De très (trop ? ) nombreux bâtiments recèlent de puzzles, où, dans une salle fixe, vous devrez remplir une condition (tuer tous les ennemis de la salle, passer sans se faire repérer…) en demandant généralement d’utiliser au mieux le mégaphone pour obtenir des bonus…
Mais le jeu vous laisse également la possibilité de franchir la salle en fonçant dans le tas, pour les moins patients d’entre vous. À noter qu’une option « Retry » vous ramènera à l’entrée de la salle pour réessayer autant de fois que vous le souhaiterez.
Le mégaphone, parlons-en ! Votre arme de prédilection vous offre jusqu’à 8 fonctions à la fin du jeu. Parmi elles, on a le tir classique, le tir en rafale, la décharge électrique… mais également des choses un peu moins courantes, comme faire danser un ennemi ou prendre son contrôle. Toutes ces fonctions consomment des balles, qui sont en nombre limité, et peuvent être trouvées sur vos ennemis ou dans des distributeurs.
Ne prenez pas mon exemple, visez plutôt leur point faible... où soyez lâche comme moi et prenez les par l'arrière !
Deux fonctions seront particulièrement utilisées lors des phases d’exploration, « Detect » permet de découvrir des inscriptions cachées, et « Move » est l’outil d’interaction de base : activer une voiture, allumer une lampe, récupérer un des munitions dans un distributeur…
Le mégaphone pourra être boosté, chaque fonction disposant de deux emplacements dans lesquels vous pourrez insérer des munitions améliorées : vitesse de tir, dégâts, et nombre de coups disponibles. Les ciseaux de Toko peuvent eux être améliorés de façon définitive, en augmentant la vitesse ou le nombre de coups dans un combo.
L’autre système d’évolution du jeu repose sur un système de compétences dispersées dans les niveaux. Chaque compétence est librement activable et désactivable à tout moment, en échange de points de compétence, qui augmenteront naturellement à chaque niveau gagné.
Le bling bling c’est l’avenir !
Au-delà des systèmes de jeu, la série Danganronpa s’est jusque-là principalement distinguée par ses scénarios riches en surprises, sa direction artistique et son ambiance. Ici, malgré le passage à des modèles 3D, l’esprit est largement respecté et ne choque aucunement, tout comme la musique dans la continuité des deux premiers épisodes.
Côté ambiance, le malaise est plus fort que jamais, poussé à l’extrême par moments, notamment lors de la découverte des histoires de nos antagonistes, et ce, dès son synopsis : des enfants jouent à tuer des adultes, les torturer, et les chasser jusqu’au dernier. Dans les différents livres qu’on peut trouver dans le jeu, de nombreuses descriptions très graphiques sont faites de tortures infligées aux adultes, et des raisons qui ont provoqué cette cruauté.
Ce côté malsain était contrebalancé dans les épisodes précédents par la présence d’un Monokuma farceur et empreint de naïveté dans sa folie. Ainsi que par les camarades de classe qui découvraient en même temps que vous la logique de cet univers… ici il n’y a que violence, folie et haine.
L’essentiel de l’aventure se déroule uniquement en compagnie de Toko, et vous rencontrerez très peu d’humains sains d’esprit avec qui interagir.
Mais si mais si, celui là l'est. Presque.
Lors des deux premiers opus, de nombreux personnages, environnements et un univers étaient à découvrir, ainsi que de rebondissements scénaristiques fréquents, et de directions inattendues.
Mais ici on passe la vingtaine d’heures que dure le jeu avec seulement deux protagonistes, dont une est un personnage que l’on connaît déjà très bien, et l’autre est plus normale que la plus banale héroïne de Shojo. Les personnages les plus développés, et ceux qu’on apprendra à mieux connaître sont nos génocidaires, les 5 « Warriors of light » antagonistes, dont les histoires seront présentées au fil du jeu, par les dialogues et par des notes dispersées dans les niveaux.
Parmi les environnements parcourus, beaucoup seront désespérément génériques dans un style « bâtiments détruits » et « ville en ruine » avec des couloirs qui s’enchaînent, sauvés par quelques quartiers bariolés, et par la subtile utilisation de cadavres comme décoration.
Un subtile mélange de sordide et de couleurs fluo
Enfin, quand les précédents épisodes étaient remplis d’inattendu, de surprise et de retournements scénaristiques, la linéarité de l’histoire et la faiblesse des rebondissements apportés semblent bien faibles et convenus. On se sent mal à l’aise à chaque humain rencontré, on a une boule au ventre devant les drames racontés, mais jamais on n’est surpris par la tournure du scénario.
De nombreux renvois sont faits aux précédents jeux, notamment par l’existence d’une « hit list » créée par les enfants, et qui recense leurs « cibles de choix » . Tous ont des relations avec des protagonistes du premier Danganronpa, mais, malheureusement, rien de tout ça n’est développé et on se contentera généralement de ramasser une photo avec quelques lignes de texte. Toko faisant quelques allusions sans jamais développer.
Le tout est appuyé par un rythme pas toujours bien géré, puisqu’on peut par moments avoir 30 minutes de dialogues, et à d’autres enchaîner 4 ou 5 puzzles, sans compter des passages de déplacements à scruter les recoins pour ne pas rater un objet qui s’avèrent assez pénibles.
Avant de finir, un point sur la technique, qui est ici proche de la perfection sur la Vita, et tout à fait honnête sur un grand écran avec la Playstation TV. De très nombreux styles graphiques sont utilisés, et tout s’harmonise très bien, dans une ambiance parfaitement identifiable.
Les voix sont par défaut en anglais, mais il est possible (et fortement recommandé) de télécharger le DLC gratuit contenant les voix japonaises ainsi que les sous-titres pendant les cinématiques (qui sont sinon en anglais non sous-titré) .
J’ai parlé des boss ? Y a des robots géants, et les robots géants c’est cool !
Conclusion :
Un jeu qui s’adresse très clairement aux fans de la série, mais qui rate ce qui a fait l’essentiel de son intérêt : ses personnages, son décalage entre légèreté et claustrophobie, et ses tournures inattendues dans le scénario… les tentatives de surprises n’en sont pas, tant elles sont visibles à l’avance.
Un rythme mal géré qui vous fera trouver le temps long par moments, et une fin… qui n’en finit pas.
On retrouve néanmoins une direction artistique particulièrement réussie, et une ambiance malsaine si bien réussie qu’elle peut parfois étouffer un peu, les bols d’air amenés par Monokuma auparavant se font remarquer par leur absence.
On trouve également un gameplay plutôt réussi, sans être très original.
Test réalisé à partir d’une copie fournie par l’éditeur.Publié le 04/09/2015 23:33, modifié le 05/09/2015 00:313 personnes ont trouvé cette critique utile. -
26/06/2015Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 10 ans.8 personnes sur 13 ont trouvé cette critique utile.Par
Darmina
Les débuts de l'alpha ont été assez chaotiques, avec notamment un grand manque d'optimisation qui rendait le jeu tout juste jouable sur les PC de dernière génération. Mais les devs ont travaillé d'arrache-pieds et désormais ARK tourne sur la plupart des configurations. Il faut d'ailleurs signaler que les patchs s'enchaînent au rythme d'1 ou 2 par jour, que les développeurs sont très réactifs et répondent fréquemment aux questions des joueurs sur le forum officiel.
Pour résumer, Ark, est un jeu de survie mélangé à Minecraft et H1Z1, le premier pour sa capacité à construire de nombreux bâtiments ou objets et la collecte de ressources, le second pour son PvP (les tricheurs en moins).
On commence l'aventure sur une plage presque nu (e) et le premier objectif sera de fabriquer une hache pour récolter des ressources, trouver des baies pour se nourrir, créer un feu pour se réchauffer. Car on peut mourir de dizaines de façons sur Ark ; de froid, de déshydratation, d'empoisonnement et bien sûr de mort violente. La faune est loin d'être amicale, de nombreux prédateurs sont prêts à vous transformer en hors-d'oeuvre. Actuellement une soixantaine d'animaux sont intégrés, et chaque semaine en voit de nouveaux arriver. On peut en dompter la plupart (même le fameux T Rex) , les utiliser comme monture, mais cela demandera pas mal de courage et de matériaux. A noter que les dinosaures sont devenus bien plus agressifs depuis le dernier patch, font plus de dégâts et attaquent désormais correctement (beaucoup étaient domptables grâce à des bugs de collision contre les arbres ou rochers).
Chaque fois que votre personnage passe un niveau, il débloque des recettes de craft (qui remplacent l'arbre de talents habituel des MMO) et peut augmenter certaines caractéristiques comme la stamina (pour courir et nager plus vite et plus longtemps) , les HP, les dégâts en mêlée, etc. Vous commencerez, par exemple, à construire une simple hutte en feuillage pour finalement créer plus tard un village avec des bâtiments en métal ou pierre. On peut créer plusieurs centaines d'objets dans le jeu, et l'architecte qui sommeille en vous passera des nuits blanches à créer son home sweet home. Certains joueurs ont même déjà réalisé des reproductions de monuments célèbres.
Je n'ai testé que le PvE mais sachez que si vous mourrez, vous repartirez de zéro, sans aucun inventaire, seul le niveau de votre personnage sera sauvegardé. Heureusement, on peut construire des coffres pour stocker ses fournitures et ainsi ne pas définitivement les perdre. Il existe toutefois des serveurs hardcore où la mort est définitive.
L'acquisition puis la gestion de vos dinosaures représente un jeu en soi : on les fait augmenter de niveau pour booster leurs caractéristiques en fonction de leur rôle (dégâts et HP pour les faire chasser, poids et stamina pour leur faire transporter des ressources etc. ) , on les nourrit régulièrement sous peine de les voir mourir, on peut même les laisser vagabonder dans la nature et se sustenter seuls, au risque malheureusement de les voir se faire tuer par d'autres animaux.
Il existe des lieux difficiles d'accès, faisant office de mini-instances, qui donnent la possibilité à des équipes de deux ou trois joueurs de récupérer des matériaux très rares, nécessaires pour le craft d'objets peu courants. On peut également régulièrement ouvrir des coffres qui popent aléatoirement sur la map (premier arrivé, premier servi) et qui donnent des objets ou des fournitures de grande qualité.
Intégrer une tribu (guilde) peut être un vrai avantage pour découvrir le jeu dans sa globalité, un joueur seul ne pouvant avoir accès à tous les crafts. De même, l'exploration de certaines régions est fortement déconseillée en solitaire.
Très honnêtement, Ark vaut largement les 27 euros nécessaires à son achat, pour peu que l'on aime les jeux de survie, dont il est l'un des meilleurs représentants. En l'état actuel, il est déjà largement supérieur à H1Z1 ou Rust, pourtant sortis depuis de nombreux mois. Le jeu s'optimise au fil des patchs quotidiens, on peut y jouer en mode online ou solo (host local) , sur serveurs officiels ou privés.Publié le 26/06/2015 17:24, modifié le 26/06/2015 18:028 personnes ont trouvé cette critique utile. -
13/11/2013Cette critique a été rédigée il y a plus de 11 ans.4 personnes sur 5 ont trouvé cette critique utile.Bonjour à tous,
Scarlet Blade... . . comment décrire ce MMO...
Je suis joueur de tous les MMORPG sortis, ça va de WoW en passant par EverQuest, DAoC, Rift, Aion, TERA, Warhammer, AoC, LotRO, City of Heroes, DC Univers. Payants comme gratuits, je les ai tous fait.
Je suis, je reconnais, très basé sur les apparences des personnages féminins sexy, c'est pourquoi j'ai joué longtemps à Aion où je les trouve assez bien fait (choisir son apparence, costume, décolleté, etc) , Tera qui est lui aussi assez sexy coté féminin. [... ]
Dès le début de Scarlet Blade, ça n'est pas compliqué on est en maillot. Les personnages ont des poitrines énormes. [... ] Tout dans le jeu est basé sur des personnages plus belles les unes que les autres. On voit même les poitrines rebondir quand on court, etc. [... ]
On a même droit via achat ou loot IG à un objet qui efface le maillot de bain d'origine, qui est déjà petit, et on peut donc se retrouver carrément nue (attention au - de 18 ans) , ce qui n'arrive jamais dans aucun autre MMO (TERA est certes sexy mais une fois qu'on retire tout son équipement, on reste habillé d'une nuisette). Dans Scarlet Blade, une fois cet objet activé et si on retire son équipement, on est nul. Ça ne sert absolument à rien dans le jeu mais j'aime bien, même si ça ne sert carrément à rien je me répète.
Parlons maintenant du jeu à proprement parlé, c'est un MMO tout ce qu'il y a de plus classique et super assisté au niveau des quêtes. Ce jeu est en anglais mais pas besoin de parler anglais pour avancer tellement les quêtes sont faciles avec un auto ciblage si on le souhaite.
Il y a la fameuse trinité des MMO (heal, tank et dps) , des instances à partir du lv20, des world boss, du BG classé par rang, du 35vs35 et du 80vs80 (un gros bordel de stun). Au niveau 17, on acquiert la capacité de se transformer en gros mecha avec de nouvelles habilités durant un court instant (ça consume du CP).
Il y a très peu de francophones dans le jeu car il est archi pas connu (sorti en mars 2013) et il ne fonctionne pas très bien, il y a un unique serveur Solaris. Grâce à cela, il y a quand même du monde dans toutes les zones même bas niveau.
Le jeu ne rénove rien du tout, bashing, donjons assez facile, PvP, il se démarque uniquement par le caractère très osé des personnages. Plus ton armure est bonne en statistique, moins tu as de fringue... Il faut aimer évidemment.
Ça ne vaut certes pas en gameplay un Tera ou un WoW, c'est certain. Mais tel n'est pas le but de ce MMO F2P (avec boutique) , le but est de s'amuser avec comme avatar un personnage très sexy à grosse poitrine.
J'ai donc mis 7, même si ça vaut plus un 5-6, sauf si comme moi vous êtes assez porté sur le skin féminin super sexy.Publié le 13/11/2013 21:05, modifié le 13/11/2013 21:074 personnes ont trouvé cette critique utile. -
05/06/2013Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 12 ans.12 personnes sur 17 ont trouvé cette critique utile.Salut à tous,
Commençons par les graphismes, Dragons Prophet est un jeu, qui à mon goût, est joli, agréable à l'oeil (j'adore l'eau) , et qui, même s'il ne bat pas des records en graphismes, reste largement suffisant pour un MMORPG. Les décors dans les zones de jeu sont agréables, bien insérés, et on ne se retrouve pas avec un jeu totalement vide au niveau de l'environnement qui nous entoure.
Au niveau de la personnalisation, c'est agréable à faire, on peut faire un peu de tout, des jolis persos comme des biens laids, néanmoins, même si on voit bien la personnalisation une fois en jeu, cela ne donne pas tout à fait la même chose que sur le panel de création, mais rien de bien dérangeant.
Au niveau du gameplay, c'est un Tera-like, avec des animations agréables, des combats qui sont certes un peu répétitifs, dû au fait des cycles de sorts et d'attaques présents dans tout meuporgs digne de ce nom, mais ça reste quand même moins lassant que le ciblage automatique, et le spam de touche.
D'ailleurs, ce système est bien intéressant, car ça permet de gérer des groupes de mobs, et pour une fois le système d'esquive est réellement utilisé.
En ce qui concerne les classes, on retrouve un système relativement basique, le Gardien en guise de Tank, le Sorcier en guise de Mage, et DPS magique, le Ranger en guise de DPS distance en physique, et l'Oracle en guise de DPS ultra-cheaté.
Réellement, ces classes ne veulent pas dire grand-chose. Les fonctions qui leurs sont assignées (Tank, DPS distance etc. ) sont des fonctions que j'appellerai théorique. On peut très bien jouer un Gardien DPS, par exemple...
Passons à un point important, et certainement un des plus mauvais points, les Donjons ou du moins ceux bas-levels. Pour faire simple, ces Donjons sont des couloirs, pas de deuxième chemin ou de passages un peu secrets. On se contente d'avancer tout droit, ou de longer les murs pour éviter les trash-mobs, car oui, c'est rempli de trash-mobs.
Deuxième point important, les Dragons. Un point bien traité, qui permet de donner un peu plus d'action, d'avoir une monture RAPIDEMENT (c'est toujours agréable) , et d'aider lors des combats (une des raisons pour laquelle l'Oracle est une classe abusée : il dispose d'un DPS monstrueux, et il suffit d'avoir un Dragon qui heal pour être quasiment immortel).
Pour ce qui touche à la communauté... La communauté est très agréable, mature, sympa et sans prise de tête. Un vrai régal, on trouve des personnes avec qui discuter super facilement, et des guildes prêtes à vous aider dans la minute près. Espérons que cela ne change pas quand le jeu deviendra plus connu.
Un bon point en plus, le jeu est à l'heure actuelle réellement Free-To-Play. Un système de diamants payants a été mis en place, néanmoins, on peut aussi payer avec une monnaie gagnable en jeu. Certes, cela prend un peu plus de temps, mais il reste un moyen ni trop rapide, ni trop long pour avoir ce que les autres ont en payant.
Conclusion : Personnellement, j'ai accroché. Une très bonne communauté, un système de combats à la Tera-Like qui nous oblige à être un minimum concentré et à ne pas s'ennuyer, comme avec le ciblage automatique, un réel Free-To-Play qui permet de jouer correctement, sans être ralenti a partir du niveau 10 (Merci SWTOR ! ) , et puis bon... Tout le monde aime Pokémon, et ce jeu donne envie de collectionner tous les Dragons possibles et imaginables.
Un jeu bien meilleur que Runes of Magic, auquel je n'avais pas du tout accroché, de par sa classicité, et de par ses zones entièrement vides (le tutoriel était juste abominable).
PS : Je ne parlerai pas du background du jeu, car je ne me suis pas assez mis dedans, néanmoins, de ce que j'ai pu en voir, il semble intéressant, et le jeu semble tout à fait correct pour la pratique du rôleplay en son sein.12 personnes ont trouvé cette critique utile. -
19/04/2013Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.4 personnes sur 5 ont trouvé cette critique utile.Un très bon jeux en version PvE.
Quêtes multiples ; instances de groupes variées ; zones très variées. Les monstres sont un peu répétitifs. Il n'y a que leur difficulté qui change.
Visuellement, un monstre de niveau 1 sera retrouvé à des levels supérieurs avec proportionnellement la même difficulté.
Il n'y a que les boss de donjon ou des zones extérieures qui sont vraiment uniques.
Les décors sont très variés et suivent une chronologie. On ne verra pas une zone de désert à la suite d'une zone de montagnes enneigées (pour exemple).
Les détails sont très bien réalisés, on se surprend souvent à découvrir des éléments de décors que l'on avait pas aperçu lors des premiers passages.
Une grande personnalisation de son avatar.
Même si la taille ne change pas, l'apparence est très variée. Des apparences prédéfinies peuvent vous lancer dans l'aventure rapidement.
Mais tout est possible si l'on prend le temps de modifier.
L'équipement de base s'obtient facilement avec les quêtes. Si vous désirez mieux, il vous faudra soit avoir de la chance pour l'obtenir avec les monstres classiques, soit privilégier les instances de groupe. On peut toutefois noter une totale inutilité au craft d'équipement en-dessous du lv 60. Même, s'il est toujours possible de le réaliser la quantité de matériaux requis et le temps de le faire ; celui-ci est devenu moins intéressant.
Au niveau 60, le craft d'équipement devient bien plus difficile mais reste le meilleur.
De nombreux crafts divers sont là pour apporter du commerce et du contenu au jeu. Les potions, les parchemins, les runes apportent autant d'intérêt pour aider à profiter du PvE que pour le commerce. Rien de très compliqué pour les initiés du craft. Même les personnes peu habituées s'y retrouveront facilement.
Pour le PvP, ça se passe seulement en arène.
S'il est facile de se familiariser à son personnage en PvE, il vous faudra attendre le niveau 60 pour pouvoir participer au PvP. A moins d'avoir intégré un serveur PvP qui n'est pas disponible en langue francophone.
Le système actif d'attaque de TERA prend tout son sens en PvP. En PvE les monstres restent assez statiques même si l'IA leur permet des mouvements d'esquives. Les réactions d'un vrai joueur change tout. Et si une attaque physique atteint son objectif selon le type d'armure, les dégâts sont très variables.
Une classe de tissu se fera aisément couper en deux par des classes de combat rapprochées.
Et les groupes de joueurs un peu trop serrés se feront littéralement pulvériser par les AOEs des mages.
Un assez bon équilibre est en place pour les classes en PvP. Mais celui-ci reste que de l'arène défini et limiter. Aucune zone de free PvP pendant le PvE.
Aucune possibilité d'attaquer quelqu'un pendant ses collectes de matériaux.
On tourne en boucle sur des arène PvP en espérant tomber sur une bonne équipe. Dès qu'un d'équilibre s'installe, le fossé se creuse avec le départ des joueurs dans l'équipe maltraitée. L'arrivée d'une équipe de clan ajoute du challenge mais surtout un important déséquilibre.
Difficile de rivaliser avec des équipes organisées.
On peut noter une grande différence de confort de jeu entre le PvE et le PVP.
Si en PvE de petites configurations suffisent largement même en étant graphiquement au maximum, en PvP les choses se compliquent beaucoup. Bien que les arènes ne soient pas composées d'un nombre important de joueurs, les serveurs ont du mal à gérer. Freeze/Lag sont monnaie courante. Et souvent, ça exaspère.
Les clans/guildes apportent un intérêt social, de coopération pour les instances et l'acquisition de connaissance du jeu.
Des choses assez classiques pour un MMO mais rien d'innovant. Le système politique de pouvoir contrôler une zone par un vanarck n'apporte que des PNJs marchands dans les zones contrôlées. Si celui-ci décide de les implanter.
Pour l'heure, c'est à mon sens un jeu plutôt axé PvE avec des options limitées de PvP tardives. L'ensemble est globalement très bon mais de nombreuses choses sont à revoir et d'autres à améliorer, voire changer.4 personnes ont trouvé cette critique utile. -
04/06/2011Cette critique a été rédigée il y a plus de 14 ans.3 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par garthsDAoC le jeu révolutionnaire !
DAOC est pour moi le premier MMORPG du genre et le meilleur !
Débutant les MMORPG sur ce fabuleux jeu qui a l'époque était unique en son genre. Le pvp m'a le plus marquer car il était massivement multi-joueurs (RvR). Jusqu’à ce jour aucun mmorpg n'a reprit ce fabuleux système PVP qui était génial et intéressant ! A part peut être Warhammer qui fut un échec du fait que 2 royaumes c'est pas assez car si l'un domine l'autre l'a dans l'os ! alors qu'a DAOC il y en avait 3 donc si l'un domine on peut s'allier a 2 contre lui donc plus égal ! Et tous les fan du RvR de DAOC n'ont pas encore trouver un MMORPG du même type et a mon plus grand désespoir ! Coté PVE DAOC était bien structuré et équilibré que sa soit les classes et compétences ou les donjons. Il ya encore une poignée de joueurs qui y jouent encore et je les comprends très bien ! mais qui c'est un jour on aura un DOAC 2 a la sauce d'un développeur bien connu ? Pour ma part je pense bien a un développeur en particulier mais je le garde pour moi !3 personnes ont trouvé cette critique utile. -
01/03/2011Cette critique a été rédigée il y a plus de 14 ans.10 personnes sur 10 ont trouvé cette critique utile.Par LeeollyLes deux sont là, comme le disait Charles Aznavour !
Les premières restent (mon compteur affiche 1308 jours sur l'île) et les secondes trouvent toujours une solution.
En avançant dans le jeu on découvre par la suite, les autres îles et parfois même d'autre secrets.
Quelques minutes plusieurs fois dans la journée suffisent pour évoluer très vite dans ce jeu qui finalement n'a pas de FIN.
On peut y passer beaucoup plus de temps, si on le souhaite, lorsque les ruines sont ouvertes ou en utilisant les sachets de thé pour atteindre un objectif ciblé.
Les dauphins nous donnent la possibilité d'aller visiter les ruines des autres îles, de découvrir d'autres pièces secrètes et peut-être un jour retirer de la pierre la fameuse épée.
Seul reproche : les objectifs après le niveau 100 sont trop importants.
Par ex. ramasser 3550 unités de coing sachant que sur la même case il y a 7 plantes différentes apparaissant de façon aléatoire, il me faudra pas moins de 30 jours pour atteindre cet objectif.
Sauf, bien sûr, si j'accepte d'acheter des trèfles !
Dommage !Publié le 01/03/2011 16:00, modifié le 01/03/2011 16:0410 personnes ont trouvé cette critique utile. -
01/03/2011Cette critique a été rédigée il y a plus de 14 ans.8 personnes sur 8 ont trouvé cette critique utile.Par celia777Je suis une survivante de 650km depuis 253 jours, et il ne se passe pas un jour où je ne vais pas m'occuper de mon aventurier sur ce site.
Cela ne demande qu'une dizaine de minutes par jour, l'évolution dans le jeu se fait assez rapidement et la multitude de quêtes et d'actions possibles font que tu ne t'ennuies jamais sur l'île !
Félicitation aussi aux administrateurs qui rivalisent chaque mois d'ingéniosité pour offrir des quêtes communes pour faire gagner des cadeaux à tous les joueurs !
Seul petit bémol, les livres sont longs à trouver et ne se trouvent pas toujours dans le bon ordre alors on reste coincé longtemps et il faut s'armer de patience. Mais comme dit, il y a plein d'autres choses à faire en attendant, comme explorer les ruines, réaliser des quêtes assez farfelues, améliorer ton équipement et ton campement, visiter les autres îles... etc.
Bref un jeu très agréable, on devient vite accro !
Je le conseille à tous les gens qui aiment bien les jeux de simulation en ligne, et qui aiment passer du temps pour faire évoluer leur personnage et monter dans le classement !8 personnes ont trouvé cette critique utile. -
11/02/2011Cette critique a été rédigée avant la sortie du jeu et il y a plus de 14 ans.29 personnes sur 40 ont trouvé cette critique utile.Par
Khotor
Forsaken World est actuellement en phase de localisation par l'équipe de Perfect World Europe. Gamer, bêta-testeur et killer invétéré de MMO depuis de nombreuses années déjà, je suis le développement de Forsaken World depuis le début. J'ai pu participer au 1er évènement intitulé "Le Prologue" puis au 1er week-end de bêta.
Quand je test un jeu, je fais abstraction totale de la comparaison avec un autre car je suis un passionné et respecte le travail ÉNORME des développeurs. J'aime comprendre l'univers dans lequel se déroule le jeu, les races qui y vivent... bref, tout ce qui fait vivre ce monde persistant...
L'UNIVERS :
Au tout début, il y avait Eyrda, un monde morne, ayant seulement un arbre pour relier le ciel et la terre. En ces temps régnaient également deux Dieux : Dyos et Nyos. Ces Dieux avaient le pouvoir de créer et de détruire comme ils l'entendaient. Ce fut Dyos qui découvrit Eyrda. Dyos décida de vivre pendant plusieurs dizaines de millions d'années sur Eyrda mais il fut incapable d'en découvrir tous ses secrets... Il fit appel à d'autres Dieux puis décida de partir, laissant Eyrda à ses enfants Tytan, Illyfue et Vyda.
Nyos arriva sur Eyrda et voulu le détruire mais Dyos brouilla les pistes, forçant Nyos à suivre son chemin. Mylvada, l'enfant de Nyos arriva lui aussi dans le monde d'Eyrda mais n'était pas le bienvenue. Il fut rejeté par les enfants de Dyos, ce qui causa la première guerre...
Une seconde guerre éclata et Mylvada fut une fois de plus vaincu et survécu à peine. Avant de partir, il raviva Dysil. Il lui donna le corps d'un dragon et Dysil se nomma lui-même "le Seigneur Ouragan".
AINSI COMMENCE VOTRE HISTOIRE DANS FORSAKEN WORLD !
LES RACES :
Ce furent les enfants qui créèrent les races d'Eyrda, chacune selon son image et ses besoins.
- Les Nains furent créés par Tytan, pour travailler à la mine.
- Les Elfes furent créés par Illyfue, selon son image et les mit dans les forêts.
- Les Humains furent créés par Vyda, imitant la création d'Illyfue, il leur enseigna des secrets très anciens.
- Les Pétrans furent taillés à partir de pierres sacrées par Tytan. C'est une race très étrange, ne comportant que des hommes.
- Les Kindreds sont nés de "l'étreinte mythique". Ils sont la progéniture d'un humain et d'une demi-déesse. Celle-ci versa son sang afin de procurer la vie éternelle dans le corps de son amant humain.
LES CLASSES :
- Nains => Fusiliers
- Elfes => Guerriers, Prêtres, Bardes
- Humains => Guerriers, Assassin, Mages, Prêtres
- Pétrans => Gardiens
- Kindreds => Assassins, Mages, Vampires
L'HISTOIRE :
Votre périple commence après avoir choisi votre race et votre classe. Un seul but, défaire le Seigneur Ouragan et retrouver les puissantes reliques perdues mais également chercher les essences divines qui peuvent vous faire devenir DIVIN !
POURQUOI FORSAKEN WORLD EST PROMETTEUR ?
Perfect World Europe a déjà fait un énorme travail sur la localisation. Certe, il reste encore pas mal de boulot à faire mais attention, Forsaken World est encore en bêta... L'effort est également mit sur l'aspect du monde très occidentale. Amateurs de MMO orientaux, passés votre chemin.
L'aspect graphique est au rendez-vous. Dans la jungle des MMO FtP, Forsaken World sort du lot et nous gratifie de graphismes chatoyants et d'effets superbement mis en scène. Les combats sont dynamiques, les quêtes très nombreuses et pour les "noobs", une possibilité d'utiliser le déplacement automatique, favorisant leur avancé dans l'aventure.
Pour ceux qui aime le Rôle Play, Forsaken World ne déçoit pas. L'aventure, l'histoire, tout est là ! Que ce soit sur le scénario princile ou sur les quêtes annexes, c'est prenant.
Les montures sont également au rendez-vous, de même que les familiers. Perfect World fait très très fort !
POUR CONCLURE :
Que vous soyez novices ou expérimentés, ne pas essayer Forsaken World serait vraiment dommage. Foncez sur le site officiel et rejoignez le monde d'Eyrda. Essayez les différentes races, les différentes classes. Vous avez toujours souhaité être un Vampire ? Perfect World l'a fait et avec brio ! De plus, une communauté très sympathique est présente et très mature. Et ça, ça fait plaisir.
Que vous le vouliez ou non, Forsaken World est vivant et cela pour longtemps...
LONGUE VIE À FORSAKEN WORLD !29 personnes ont trouvé cette critique utile. - Afficher les critiques suivantes