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13/11/2009Cette critique a été rédigée il y a plus de 15 ans.4 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Par
Silenziio
Le titre parle de lui-même.
Ce n'est pas un MMO comme les autres, celui-ci est beaucoup plus 'magique' et envoutant. A mi-chemin entre Maple Story, WoW, Flyff et DOFUS, Dragonica est un jeu qui modernise les MMO par sa grâce, sa jouabilité en Side-scrolling, et son Gameplay très intéressant.
Les Quêtes sont très nombreuses et les équipements sont originales. La bande son change en fonction de l'endroit où on se situe, cette dernière étant relaxant. Les graphismes sont très travaillés, permettant le régal des yeux. Le bestiaire contient une multitude de mobs. Le système du Marché en ville est vraiment sympa, ça permet de pouvoir acheter ce que l'on souhaite, en pouvant regarder les prix de l'objet désiré grâce au moteur de recherche relativement précis.
Quelques petits bémols quand même. Après le niveau 55-60, il n'y a plus grand chose à faire d'intéressant.
De plus, entre le niveau 33 et 40, à part Farm Atoo et faire un peu de Pvp, c'est assez lent.
L'histoire du jeu est assez peu développé.
Dans l'ensemble, ce jeu m'a bien plu.Publié le 12/11/2009 16:25, modifié le 13/11/2009 11:374 personnes ont trouvé cette critique utile. -
23/08/2009Cette critique a été rédigée il y a plus de 15 ans.2 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.8/10
DragonSagaSans titre
Par apokalipssBonjour à tous, je suis un peu comme vous tous (enfin je pense) je cherche tout le temps un bon mmorpg pour y passer du temps. Tout dépend de vos goûts ! Dragonica est un jeu bien conçu pour l'histoire, les quêtes mais on se lasse très vite, en effet si on veut progresser dans le jeu il faut toujours faire la même chose pendant des heures (les zones de missions que l'on doit répêter sans cesse) au niveau graphique c'est plutôt pas mal malgré que les maps ne soient pas extraordinaires.
Les équipements sont beaux ainsi que les armes, des classes originales avec leurs moins et leurs plus. Je suis arrivé au niveau 35 et je commence vraiment à me lasser de ce jeu, il faut être patient. Cependant au début on y prend goût tout est nouveau amusant on progresse vite, les quêtes a accomplir. Ce jeu est vraiment divertissant.
Enfin pour moi, Dragonica est un jeu de transition ! Oui car on peut y passer du temps mais il n'égale pas les grands jeux (WoW) ! Mais je le recommande bien sûr pour les gens qui veulent se divertir sans se prendre la tête ! Je disais que tout dépend de vos goût et bien oui dragonica est un jeu où le graphisme compte beaucoup, principalement sur votre apparence, enfin à vous de juger et de vous faire votre propre opinion !Publié le 21/08/2009 14:21, modifié le 23/08/2009 12:302 personnes ont trouvé cette critique utile. -
17/06/2009Cette critique a été rédigée il y a plus de 16 ans.3 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.Par PlexusAlidhan est vraiment un jeu génial. Tout à fait gratuit, il propose à votre personnage une réelle évolution. Un grand nombre de quêtes, d'équipements et de monstres en font la richesse. Ne vous arrêtez pas à l'aspect "rétro" du jeu (qui est en 2D) , et laissez-vous emporter ! Que vous soyez fait pour combattre les ennemis ou taper les monstres, voler ou faire la chasse aux déviants, vous trouverez forcément un style de jeu qui vous plaira.
Au début, vous arriverez dans un petit tuto, pas très vivant, mais qui pose plutôt bien les bases du jeu. Vous taperez vos premiers monstres, passerez vos premiers levels et équiperez votre première arme. Vous apprendrez à gagner de l'or, et à trouver et utiliser des potions. Enfin, vous serez invité à choisir un alignement. Il existe 3 alignements de base dans le jeu, qui se combattent respectivement. Là commence la vraie vie...
Le PvP est très bien développé sur le jeu. Vous pouvez choisir de combattre en arène (dans ce cas, en cas de défaite vous ne perdez qu'un peu d'expérience et d'honneur) ou bien de combattre les ennemis que vous croiserez en chemin. Là, les conséquences sont plus lourdes : en cas de défaite, vous vous retrouvez au cimetière, avec une perte d'expérience dépendant de la différence de niveau entre l'ennemi et votre personnage.
La richesse de contenu du jeu est impressionnante. Il y a un bon nombre de cartes, accessibles à des niveaux différents. Le nombre de quêtes et la longueur de la plupart d'entre elles est lui aussi très appréciable. Le choix d'équipements, de potions est tout aussi large.
Le commerce est plutôt bien régit. Il existe différentes installations permettant le commerce (dépôt-vente, commissaire d'enchère, ou tout simplement les échanges entre joueurs). Il n'est pas très compliqué de remplir son compte en banque.
Seul bémol : les bases du jeu sont plutôt difficiles à acquérir pour un débutant sans amis sur le jeu. Les guildes, et des PNJ mis en place dans les villes de départ tentent d'aider les plus jeunes, mais ce n'est pas toujours facile. La plupart du temps, les nouveaux abandonnent ou bien doivent recréer un personnage car ils n'ont pas bien monté le premier. Mais hormis ce bémol, le jeu est un superbe divertissement, qui, malgré son apparence spéciale, rend très vite accro et donne un véritable plaisir de jouer ! A noter que l'évolution des personnages est quasi-infinie...
Je vous laisse donc découvrir cette pépite par vous-même !Publié le 13/06/2009 22:43, modifié le 17/06/2009 15:363 personnes ont trouvé cette critique utile. -
28/05/2009Cette critique a été rédigée il y a plus de 16 ans.5 personnes sur 8 ont trouvé cette critique utile.Par kakou36 CarverSecond Life, ou SL, est une simulation de vie en 3D. J'y joue depuis 2008, et je pense pouvoir être assez expérimenter pour pouvoir en exposer mon idée.
Selon moi, SL c'est du bonheur ! Vous n'avez aucune limite ! Vous pouvez concevoir le personnage de vos rêves, même si ce n'est pas toujours facile...
En ce moment, je suis à fond dans le RôlePlay, que je trouve très addictif. (En réalité j'ai commencé SL avec le RP : p un ami RL m'ayant guidé dans le jeu et qui faisait et fait toujours du Rp).
Je ne m'attarderai pas sur ce point (sinon je ne m'arrêterais pas ! ) , mais c'est un exemple de ce que vous pouvez faire sur Second Life. Vos pouvez tout aussi bien créer des choses, et, si vous en dégagez des bénéfices, vous acheter un magasin.
Mais la chose n'1 sur SL, c'est la communauté. Vous vous ferez plein d'amis, sans aucun doute !
Bon, j'ai passé les points sympa du jeu, attardons-nous maintenant sur les mauvais points :
1- le début : en effet, un "noob" (comme on dit dans le jargon) sera tout de suite largué dans le jeu, comme ça, pof. Ca y est, il a un avatar, et puis c'est tout.
Première mauvaise impression (mieux vaut avoir une connaissance qui joue déjà à SL, sinon vous allez être paumé ! )
2- Votre avatar : quand on est nouveau, si on ne connait pas les endroits freebies (objets gratuits) , on reste avec un avatar de noob (et souvent même les freebies ne font qu'empirer les choses, mais on peut en trouver des biens ! ) en clair pas top...
3- les problèmes : ça, ça me concerne directement. Tous les bugs, lags, crash, pas de re... grrrrr ! Personnellement j'ai un ordinateur relativement neuf, et niveau jouabilit?... 0 ! Ce soir encore par exemple, j'arrive à me connecter, mais je ne rez pas (rez : action de charger l'environnement, en clair je ne charger pas ce qui m'entoure, à peine mon perso) bref là dessus on espère que LindenLab trouvera une solution !
Pour finir, je conseille bien évidemment à tout le monde de télécharger ce jeu génial, qui dépasse le nombre de possibilités espérées, mais tout en espérant que vous connaissez quelqu'un qui joue déjà à SL, sinon vous allez avoir du mal au début, mais après ça roule tout seul !Publié le 07/05/2009 21:45, modifié le 28/05/2009 14:455 personnes ont trouvé cette critique utile. -
27/09/2011Cette critique a été rédigée il y a plus de 13 ans.4 personnes sur 4 ont trouvé cette critique utile.Dekaron est un MMO Hack'n Slash Free To Play coréen qui a été en partie coaché (mais non créé) par la société de "conseil de jeux" de David Perry. Il existe aux USA depuis l'été 2007 sous le nom de 2Moons. Dekaron intègre des Guildes françaises assez actives. Vous pouvez faire des micro transactions pour acheter certains objets avec votre argent, mais ce jeu a l'avantage d'être parfaitement jouable sans dépenser le moindre sou.
Le principe très coréen de ce jeu est le hardcore levelling / Monster Bashing, en vue de créer un personnage surpuissant (jusqu'au lv 150) pour des batailles PVP épiques.
Le jeu souffre des lacunes habituelles des MMO F2P : serveurs pas toujours stables, cassage de monstres non stop, peu de quêtes et quêtes inintéressantes (apporte tel objet, va tuer 50 insectes... ) , pvp agressif sur la plupart des zones ; mais Dekaron sait être particulièrement addictif, surtout pour les fans de Diablo.
Les 6 classes de personnages sont bien fichues, certaines totalement inédites (la Segnale : seul healer et Sado-Maso de service qui est aussi nécromancienne et manieuse de fouets ; le Vicious Summoner qui se joue avec des sabres jumeaux hyper classes, ou le Bagi Warrior : Colossus de service).
Les pouvoirs ne sont pas très nombreux au départ, mais les effets graphiques sont extraordinaires de pyrotechnicité et de design. L'ampleur des coups donnés accroit très largement la dynamique des combats. Dommage cependant que les classes ne soient pas toutes très équilibrées (on peut clairement rater un personnage si on ne prend pas les bonnes techniques au bon moment -On peut réinitialiser une fois gratuitement, après c'est payant).
Les personnages sont aussi personnalisables que dans Diablo II (tout est dit) et les sets d'armures, bien que très limités, sont tout simplement magnifiques (passé le lv 100, votre personnage peut avoir des ailes ! )
Les graphismes sont plutôt bons pour un jeu gratuit, mais oubliez toute idée d'exploration.
Le jeu est aussi très violent et sanglant, il faut adhérer au style mature aux antipodes d'un Fiesta Online ou d'un Fly For Fun.
Par contre aucune personnalisation des touches possible. Dommage car certains clics de souris ne donnent pas toujours le résultat escompté (en terme de déplacements).
Mon avis :
Ceux qui ressortent des MMORPG payants trouveront Dekaron d'un creux absolu (beaucoup pensent à tort que Dekaron/2Moons est un MMORPG... ) et ceux qui veulent de l'exploration, une immersion dans une histoire cohérente et de la personnalisation se tourneront vers Guild Wars.
Cependant, les amateurs de Hack'n Slash qui veulent se marrer entre potes pour pas un rond sans prise de tête trouveront là le meilleur représentant des MMOs gratuits. Sans être un incontournable, Dekaron trouvera largement sa place pour des parties casual, le temps de se défouler. Mais l'envie de faire évoluer son personnage est diablement excitante et les heures s'enchainent vite.
Jeu en anglais uniquement mais les dialogues, bien que très marrants et matures (insultes fréquentes) , sont totalement accessoires.Publié le 03/01/2009 19:39, modifié le 27/09/2011 17:534 personnes ont trouvé cette critique utile. -
07/12/2008Cette critique a été rédigée il y a plus de 16 ans.3 personnes sur 3 ont trouvé cette critique utile.Voici ma critique partielle car je suis loin encore d'avoir tout vu, tout essayé !
D'abord, côté graphisme, ambiance et musique, une fois de plus, Turbine a fait de l'excellent travail : les décors sont somptueux, la démesure des mines est bien rendue (on s'y perd très facilement) , la musique colle parfaitement aux zones.
Ensuite, pour le nouveau système de combat, les affrontements sont plus ardus, avant, on pouvait gérer 2 ou 3 voir 4 adversaires de son niveau sans trop de problème, maintenant, à partir du 2°, ça peut déjà devenir tendu suivant sa classe.
Les dégâts infligés et les chances de critiques ayant été réduits comme la plupart des joueurs l'ont remarqué, il faut obtenir des critiques dévastateurs pour faire plus de dégats que sur les anciens critiques "classiques", mais surtout avec des objets légendaires qui devront compenser ce déficit à hl.
Côté quêtes, on retrouve aussi bien les très classiques tuer x mobs, affronter untel élite ou récupérer y objets que quelques quêtes plus originales comme retrouver les traces du passage de la Communauté dans Eregion, se retrouver à l'époque de Durin dans une quête solo. Dans les mines, je n'ai fait que les 1° quêtes qui sont liées à l'exploration des lieux, affronter des gobelins ou autres créatures, retrouver des nains, pour me rendre compte de la diversité des quêtes.
Pour les deux nouvelles classes implémentées, tous ceux qui ont essayé la sentinelle l'apprécie grandement, c'est une classe qui apporte quelque de neuf avec en autre ses gambits. Le gardien des runes est un personnage "jetteur de sort" plus classique mais agréable à jouer.
Pour les instances, je n'ai eu l'occasion que d'en faire 2 nouvelles, qui sont des petites instances à 3 joueurs. Elles sont plus dures et demandent plus d'attention et de préparation pour chaque affrontement, sinon c'est la mort du groupe !
Concernant les objets légendaires, ce système apporte un plus indéniable même s'il a encore besoin d'être peaufiné (trop de drop d'objets du 3°âge, orientation des legs, combinaison des runes) et il sera vite copié par d'autres jeux !
En définitive, une très bonne extension qui apporte du sang neuf (y compris comme joueurs) à LotRO et comme Turbine est passé maître dans le developpement du contenu via les patchs, Les Mines de la Moria va se bonifier dans le temps !Publié le 07/12/2008 11:41, modifié le 07/12/2008 11:443 personnes ont trouvé cette critique utile. -
01/11/2008Cette critique a été rédigée il y a plus de 16 ans.8 personnes sur 11 ont trouvé cette critique utile.Par
Fbr-
DOFUS. Combien de temps faut-il y jouer pour pouvoir s'amuser ?
Joue pour XP, passer tes lvl, car sans ça tu sera considéré comme un "noob".
Drop, drop, et drop encore, car sans stuff tu sera considéré comme un "noob".
Si tu ne veux pas dropper, achete des kamas, ruine toi.
Un challenge PVE ? Ca n'existe pas... Toujours les mêmes techniques.
Un challenge PVP ? : ) Quelque fois, même si les classes sont loin d'être équilibrées.
Monte ton perso dans l'optique de PvP, jusqu'au jour ou... NERF.
Reroll ? Tu es ruiné, sans kama, et personne ne veux t'aider. Bonne chance.
Les bons moment ? Ils existent, mais il y a toujours quelque chose ou quelqu'un qui viens tout casser.Publié le 01/11/2008 03:50, modifié le 01/11/2008 17:438 personnes ont trouvé cette critique utile. -
29/03/20241 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.J'ai rejoué au Sims après plusieurs années et j'aimerais vous partager ce que je trouve bien et pas bien.
Les Sims 4 suscite chez moi un sentiment mitigé. D'une part, l'interface utilisateur et les graphismes ont fait un bond qualitatif, offrant une expérience visuelle plus agréable et immersive. Cependant, il est impossible d'ignorer les omissions notables et les décisions de design qui semblent limiter plutôt qu'enrichir l'expérience de jeu.
Premièrement, la suppression des piscines et des voitures au lancement a été un choix surprenant, éliminant des éléments autrefois centraux de la personnalisation et de la narration. Bien que certaines de ces fonctionnalités aient été ajoutées ultérieurement via des mises à jour gratuites ou des packs de contenu, cette stratégie a suscité des interrogations sur la complétude du jeu à sa sortie.
Deuxièmement, la décision de fragmenter les quartiers et de supprimer le monde ouvert introduit dans les Sims 3 réduit l'immersion et la fluidité de l'expérience. Les temps de chargement entre les zones brisent le sentiment de continuité et limitent l'exploration spontanée.
Aussi il faut que la personnalisation des Sims soit plus poussée, le contenu de base semble manquer de diversité, poussant vers des achats additionnels pour enrichir l'expérience.
Néanmoins, les Sims 4 reste un jeu solide avec des bases solides pour l'avenir, notamment grâce à ses mises à jour et extensions. Cependant, pour atteindre son plein potentiel et véritablement innover sans décevoir, il est crucial que les développeurs nous écoutent nous la communauté ! Et intègrent du contenu qui enrichit l'expérience sans restreindre la créativité et l'exploration qui sont au coeur des Sims.
PS : hâte des Sims 5 !1 personne a trouvé cette critique utile. -
23/10/20231 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Par
Ajaxandriel
Au fil des ans, même si j'ai encore de la sympathie pour le jeu "Retail" qui continue à empiler extension sur extension, je suis devenu comme la plupart des habitués : désabusé par la direction prise par l'univers et par l'histoire, mais on se dit "les sorts sont jolis" et "enfin ces nouvelles personnalisations, moi qui les attendais depuis 10 ans ! " et on y revient toujours. Débarqué sur WoW en 2010, j'avais manqué les zones "vanilla" originales à quelques jours près.
L'annonce de Classic fut donc une occasion en or de se plonger dans une ambiance qu'on n'a pas forcément tous vécue mais qu'on a l'impression d'avoir connue quand même, indirectement, parce que quelque part, ce monument fait partie d'un inconscient collectif.
Et quelle aventure ! Là oui, l'aventure prend un sens, un rythme cohérent, le monde se veut sobre et immersif, peu scénarisé... mais un peu à la manière des MMO plus anciens : le scénario émerge de lui-même dans notre tête et au hasard du voyage.
Le concept attire aussi une autre population que le jeu moderne. Le design poussant à l'interaction entre joueurs, il permet de ficeler le tout, pour une expérience très différente à tous points de vue du WoW actuel. Je mettrais donc un 8/10 et en étant sévère.
Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.
Printemps 2021, l'extension Burning Crusade est re-sortie et Classic vanilla est mis sous le tapis par Blizzard. Bien qu'une version "musée" appelée Classic Era (Ere Classique) reste disponible, les grosses contraintes pesant sur le transfert à la sortie de BC force la main aux masses pour se diriger vers BC.
Puis 2022, BC disparait (sans serveur-musée cette fois ! ) et remplacé par l'extension WotLK.
WotLK est très appréciée, mais ne l'aimant pas à titre personnel, je ne vais pas mentir, j'ai l'impression d'un énorme gâchis. Ce qui plombera ma note finale à 6/10.
Reste à cette date (fin octobre 2023) l'espoir mince d'annonces à la BlizzCon 2023 pour voir Classic vanilla être remis en avant... On est nombreux à espérer une suite inédite basée sur la version originale sans extension, une chimérique version "Classic Plus".
Bilan, WOW Classic Era (vanilla) est toujours disponible mais très faiblement peuplé.
WotLK, assez peuplé, ne sait pas à quel sauce il va être mangé (Cataclysm Classic ou une suite inédite ? ) .
Une version saisonnière (Season of Mastery) avec de légers changements de gameplay mais pas de serveur FR s'est terminée, sans qu'on sache encore s'il y en aura d'autres.
Une version Hardcore (mort définitive) sur Vanilla est aussi sortie récemment et semble assez populaire (mais là encore sans serveur FR) .
Critique plus détaillée en vidéo : https://youtu.be/OGqQgQbbEc8Publié le 23/10/2023 23:33, modifié le 23/10/2023 23:351 personne a trouvé cette critique utile. -
05/04/2021Cette critique a été rédigée il y a plus de 4 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.À la vision de Maneater, l'on pourrait s'attendre à une énième oeuvre jouant avec la phobie des requins pour, au grand dam de ces poissons cartilagineux, perpétuer le mythe de la dangerosité de l'espèce. Loin s'en faut : la forme se présente comme une parodie d'émission de TV, et le fond s'articule autour de la vengeance d'un jeune requin souhaitant venger sa mère, tuée par un vilain et dangereux chasseur de requins. Afin d'y parvenir, le joueur est invité à faire évoluer l'animal et à le faire grandir en parcourant les différentes zones. Ainsi, le jeu s'extirpe de cette vision « Spielbergienne » que certains pourraient redouter pour plonger tout entier dans l'humour et la découverte d'un monde sous-marin imaginaire.
Et autant le dire tout de suite, les premières nages et morsures séduisent autant par la maniabilité du requin que par la retranscription de ce monde que l'on a peu l'habitude d'explorer. Du bayou à la côte, en passant par les zones de villégiatures, différentes zones y passent avec pour chacune d'elles une identité propre bien que limitée dans la variation du biotope. En effet, si les environnements aquatiques proposent un large éventail de plantes et de ruines diverses, la faune souffre cruellement d'un manque de variété. C'est d'autant plus criant que le passage d'une zone à l'autre ne propose qu'une à deux espèces nouvelles. Bien peu, mais toujours plus que les habitants de la surface qui se limitent à quelques pauvres scripts. Autre mal, la gestion du cycle « jour/nuit » qui est souvent désastreuse, avec une perte de visibilité la nuit tombée, pénalisant ainsi le travail effectué à la surface ou sur les cinématiques. Cela aurait pu s'entendre si c'était une décision « roleplay » afin de rendre les sorties à la surface périlleuses, mais comme le jeu ne propose aucune phase réellement difficile, je ne peux m'hasarder à l'expliquer sous cet angle. En bref, que ce soit sous l'eau ou à la surface, le plaisir de la découverte s'estompe très rapidement malgré de nombreux « easter eggs » vidéoludiques et cinématographiques faisant office de bouffées d'air frais. C'est d'autant plus dommageable que le gameplay s'enlise dans son game desing, qui multiplie de fait les mêmes missions inutiles et les collectibles ad nauseam. Une situation faisant fi du bon sens créatif pour certains, une habile critique du monde ouvert à la Ubisoft pour d'autres. Quelque soit votre camp, il en demeure néanmoins que le jeu déploie rapidement et avec force une certaine idée de l'enfer en ne proposant finalement à notre requin que de dévorer tout ce qui passe devant lui, y compris mon introduction écolo-responsable.
Concrètement, Maneater propose une expérience tombant de Charybde en Scylla, notamment lorsqu'on découvre que ce script d'activité ne diffère en rien d'une zone à l'autre. Les mêmes missions secondaires, les mêmes prédateurs à tuer, les mêmes collectibles à trouver. Pire, même. Comme les améliorations de notre squale dépendent de leur complétion, il n'est pas possible de s'en extraire pour continuer la quête principale. Quête qui, à l'image du jeu, s'avère aussi maigre qu'un poisson en cage. Heureusement, ou malheureusement si on le rapporte au prix recommandé de 40 euros, le jeu se termine entièrement en huit ou neuf heures.Publié le 04/04/2021 20:59, modifié le 05/04/2021 10:541 personne a trouvé cette critique utile. -
30/06/2020Cette critique a été rédigée il y a plus de 5 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Voici un jeu d'horreur qui, s'il s'inspire de l'oeuvre Blair Witch, emprunte également à Alan Wake ou encore à Inception, pour un résultat des plus mitigés.
Le jeu ne perd pas de temps en tergiversations quelconque, et nous plonge directement dans le vif du sujet. Une forêt entourée de légendes inquiétantes se dresse devant nous, et en son sein se trouve vraisemblablement un enfant porté disparu. Un cadre peu rassurant pour débuter notre enquête. D'autant plus inquiétant que ce labyrinthe vivant profite d'un réalisme saisissant, et la quiétude apparente du lieu se transforme vite en silence assourdissant dès lors qu'on s'y attarde un peu trop longtemps.
Heureusement pour notre personnage (et nous-même) , nous ne sommes pas seul dans cette aventure. Notre fidèle compagnon nous accompagne et fait partie à part entière du gameplay, tantôt pour effectuer des recherches, tantôt pour nous prévenir du danger. Et alors que dans les premiers instants la présence de notre chien nous apparaît donc comme rassurante et nécessaire, on s'aperçoit vite que le rôle premier de Bullet est de servir de bouée de sauvetage. Au fil de nos recherches, et à mesure que l'on s'avance dans une forêt de plus en plus sombre, le matériau de base disparaît pour nous offrir une introspection psychologique de notre personnage, au passé sombre et torturé. Et c'est dans ces moments-là que Bullet revêt toute son importance : permettre à notre personnage de se raccrocher aux branches de la réalité afin de ne pas sombrer dans la folie.
Si l'idée est bonne, la gestion de notre compagnon s'avère un peu archaïque au regard de ce qui se fait aujourd'hui. Pire peut-être, le bestiaire de monstres déployé est par moment incompréhensible (un tas de feuille démoniaque, vraiment ? ) . La proposition de gameplay s'accompagne d'énigmes à résoudre grâce à notre caméscope vidéo, ainsi que d'objets à faire trouver par Bullet et son flair hors-pair. A ceci près que ceux-là viennent bien moins varier le gameplay qu'approfondir le background du personnage -- même s'il est malheureux de devoir chercher des objets cachés pour l'approfondir.
In fine, les trois premières heures d'enquête oscillent entre le convenu et l'ennuyant, malgré quelques jumpscares bienvenues. Heureusement, la dernière heure se déroulant dans une maison sordide se révèle véritablement angoissante. Au travers d'un dédale incompréhensible, avec des changements de décor désorientant, des scripts surprenants, et des murmures effrayants, la visite de cette maison offre un gameplay angoissant et de nombreux sursauts. Pour s'échapper de celle-ci, il faudra faire tomber les murs et les barrières psychologiques du passé de notre personnage ; déterrer ce qui était jusqu'alors enfoui au risque de sombrer dans la folie.Publié le 30/06/2020 12:42, modifié le 30/06/2020 12:591 personne a trouvé cette critique utile. -
26/04/2020Cette critique a été rédigée il y a plus de 5 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Tout d'abord, il convient d'expliquer que je suis tombé sur Subnautica par hasard et que je ne suis pas très fan des jeux de survie, lesquels m'ont presque toujours déçu, voire dégoûté par leur manque de finition ou d'intérêt passé les premières heures. J'ai eu le jeu gratuitement (Epic Store) et il est resté un long moment dans ma bibliothèque sans que je ne m'y intéresse. Et puis un jour, je l'ai lancé et ce fut une révélation : Subnautica est une pépite.
Sur le papier :
- un énième jeu d'explo/survie à la gomme en FPS
- des fonds marins plutôt jolis, ça brille
- du building plutôt complet
- de la SF, c'est la mode
Jeu en main :
- c'est scénarisé. Ça peut paraître incroyable, mais vu ce qu'on trouve dans la même catégorie, il me paraît bon de l'annoncer dès le début. On a un vrai début et une vraie fin, pas une vague alpha sortie à l'arrache (même si le jeu l'était au début) .
- on est constamment seul, il n'y a donc aucun dialogue à proprement parler. Les seules voix qu'on entendra seront celle de l'IA et les enregistrements trouvés sur place.
- le jeu vous lâche totalement dans la nature en apparence, mais il y a en fait toujours un moyen de progresser, à condition de lire les documents, de s'intéresser à l'histoire, d'être attentif et perspicace. Ici le lore n'est pas en option.
- le jeu est beau. Ce n'est pas une question de qualité des graphismes (et paie ton cliping de la mort) mais c'est réellement enchanteur, puis angoissant, puis beau, puis effrayant qu'on en redemande. Et on en ré-obtient.
- l'ambiance n'est pas trop oppressante, mais vous mouillerez quand même votre culotte par moments, notamment en affrontant les nouveaux environnements ou en faisant une (très) mauvaise rencontre. La proie, c'est vous.
Subnautica a ceci de particulier qu'il ne narre pas son scénario comme on le fait d'habitude. Ici, pas de PNJ qui vous explique quoi faire ni de cinématiques passée la première (qui ne révèle pas grand-chose d'ailleurs) . Si l'IA vous donnera quelques indications sur ce qu'il convient de faire et quelques points de repère au début, c'est au joueur de trouver certaines astuces, d'expérimenter et de lire les informations qu'il obtient. En fait, c'est la première fois que je me suis senti aussi investi dans la documentation du jeu, parce qu'elle cache les informations permettant d'avancer, pas juste des bonus "histoire de".
En parlant de l'IA, votre seule compagne d'aventure est une belle saleté. L'humour dont elle fait preuve m'a plusieurs fois fait sourire. C'est simple, mais bien placé et presque toujours fait l'air de rien. La solitude de l'avatar et la sempiternelle vue FPS peuvent paraître lourdes, mais elles participent à l'immersion. Vous êtes seuls face à un monde entier, seulement "soutenu" par une IA sadique qui s'intéressera plus aux données et au matériel qu'à celui qui les utilise. Bonne chance.
Lorsqu'on sort pour la première fois de la capsule de sauvetage, on est littéralement entouré par l'inconnu et la peur des profondeurs. Ici, pas de plan qui se dessine, pas de brouillard de guerre qui s'évapore, juste votre mémoire de joueur et quelques "points" de repérages qui pourront être complétés par vos soins en déposant des balises qu'il faudra fabriquer vous-même. L'immense vaisseau échoué est votre seul point de repère en surface et, sans la boussole, il sera votre unique moyen de savoir dans quelle direction vous allez au tout début. Tout déplacement est potentiellement dangereux, surtout durant les premières heures ce qui renforce l'appréhension des sorties. Le jeu vous le confirmera à votre première rencontre avec un titan.
Autre particularité : les armes. Elles brillent par leur absence au début et on se rend vite compte que s'il est possible d'en fabriquer quelques unes, ce sont plus des outils que de véritables moyens d'anéantir la faune locale. Durant toute votre progression, la fuite et la discrétion resteront vos alliés les plus précieux. D'ailleurs, certains ennemis sont virtuellement invulnérables, voire inarrêtables même avec l'arme conçue pour, tellement ils sont massifs. Et puisqu'on en parle de ces "ennemis", ce ne sont au final que des animaux. Rien de plus, rien de moins. Ne vous attendez pas à combattre une IA retorse ou à des stratégies, il s'agit juste de ne pas se faire dévorer avec les faibles moyens à votre disposition. Ce changement est plutôt le bienvenu. Même à la fin, le danger vous guettera en permanence, au détour d'un prédateur qui arrive dans votre dos ou d'un grognement qui annonce que vous êtes dans la mouise. Et c'est bien.
L'équipement en lui-même se débloque avec le scénario, vos découvertes et l'exploration. Oui, il faudra beaucoup explorer pour tout trouver, beaucoup lire pour comprendre le fonctionnement du jeu. Il ne vous prend pas par la main et à plusieurs reprises, vous ne pourrez avancer sans une amélioration ou un outil spécifique. À vous de trouver comment faire, c'est une bonne partie du plaisir.
Les véhicules sont salvateurs et tous nécessaires à la progression, même si on peut tarder à le découvrir. Le premier sous-marin va vous changer la vie et modifier votre façon d'envisager votre environnement. L'exosquelette... eh bien disons que je vous conseille de suivre les recommandations de l'IA la première fois que vous montez dedans, sinon vous pourriez vous retrouver à hurler devant votre écran, accroché au dos d'un prédateur qui file à tout allure tandis que vous l'éperonnez à coups de foreuse (c'est mal, je sais) . Pour finir, le Cyclops a été une belle surprise. Le véhicule est si grand qu'on peut y construire la plupart des éléments d'une base (j'avais une serre, un lit, des armoires dans tous les sens) . La première visite de ce géant des mers a été un choc quand j'ai réalisé que j'allais devoir manoeuvrer un énorme paquebot submersible à travers les fonds marins à la première personne (aidé de caméras) . Du son des moteurs jusqu'à la voix de l'IA de bord, tout est fait pour exprimer l'énormité et la virilité de la machine. Pourtant, comme les autres véhicules, il est dépourvu d'armes et c'est en jouant de ruse, de vitesse et de discrétion qu'il faudra éviter d'attirer l'attention de monstres plus gros que lui.
Le craft est central mais pas lourdingue. Il s'insère très progressivement dans les avancées scénaristiques et je n'ai jamais ressenti l'impression de perdre mon temps à faire des recherches ou à devoir ramener 25 espèces de champignons pour vérifier s'ils sont utilisables en les mélangeant à 90 autres trucs. Ce qui n'est pas proposé, vous ne pouvez pas le faire, point-barre. Chaque nouvelle forme de vie, chaque nouvel élément est scannable et l'IA vous dit si c'est utilisable via la base de données. Charge à vous d'être attentif et de ne pas passer à côté d'une chose importante qui pourrait vous bloquer ensuite. Petit malus pour la "récolte" de minerais qui prend parfois trop de temps si vous cherchez à construire une base correcte, mais c'est une question vite résolue lorsque vous disposez du prawn et du cyclops. Après tout, ils ont été conçus pour ça.
La durée de vie est exceptionnelle pour un jeu vendu 20 euros. La richesse du scénario, pratiquement invisible durant les premières minutes, vous pousse à aller plus loin, à toujours chercher la progression, surtout qu'il ne s'agit pas juste de bêtement survivre : votre avatar DOIT partir et il devra atteindre des objectifs spécifiques pour y parvenir et percer de nombreux secrets... Personnellement, j'y ai passé plus de 60 heures, mais je sais qu'on peut le finir en 40. Un très bon investissement.
Conclusion :
Subnautica a été une énorme surprise pour moi, notamment parce que je n'en attendais pas grand chose au début. Chaque fois qu'on pense avoir compris comment le jeu fonctionne durant les premières heures, il vous prend au dépourvu en modifiant votre vision des choses. Chaque fois qu'on pense être coincé, c'est qu'on n'avait pas assez fait attention aux informations obtenues, qu'on avait oublié que le jeu n'est pas un tunnel et qu'il faut utiliser sa cervelle. C'est au joueur de trouver comment avancer, même si la solution n'est jamais bien loin (enfin au sens figuré) . Il en ressort une impression de merveilleux qui n'enlève rien à l'atmosphère inquiétante de ce monde où vous êtes complètement isolé, sans parler des décors sombres ou des petits moments de flippe en frôlant un faucheur ou entendant le hurlement d'un empereur sans parvenir à le localiser. Chaque nouveau biome est l'occasion de découvrir la beauté de ce monde étrange comme de serrer les fesses à l'idée de croiser un monstre inconnu. Toujours quelque chose à faire, toujours sur ses gardes, toujours attentif au moindre détail pour découvrir ce qui est arrivé aux autres, qu'il s'agisse de votre équipage ou des précédents visiteurs, le joueur doit vivre cette aventure à fond pour progresser. Je déconseille d'ailleurs fortement de faire une grosse pause pour s'y remettre quelques semaines/mois plus tard. Subnautica n'est pas à proprement parler difficile, mais il est exigeant et il faudra sans doute recommencer à zéro pour ne pas se retrouver perdu en revenant. Avec un scénario original et profond, qui exige que le joueur s'investisse pour comprendre ce qu'il se passe afin de progresser, sa narration sans dialogue et ses possibilités de constructions originales, Subnautica réveille le genre et le redéfinit, à tel point que j'ai envie de parler de Subnautica-like pour tous les autres jeux d'exploration/survie. Le seul gros malus est ce clipping abusif qui gâche l'ambiance lorsqu'on approche d'une zone ou la végétation apparaît avec plusieurs secondes de retard, mais à ce prix-là, c'est pardonnable au regard de la qualité du reste du titre. Je ne dis pas souvent ça, mais vivement le 2. (en alpha pour l'instant)1 personne a trouvé cette critique utile. -
21/04/2020Cette critique a été rédigée il y a plus de 5 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Alors que la franchise vidéo-ludique Metro possède un univers riche, grâce à la saga de livres (Metro 2033, Metro 2034 et Metro 2035) dont elle est adaptée, et incroyablement mis en scène, ce deuxième opus reproduit malheureusement les erreurs de son aîné et ne parvient pas à sublimer une saga littéraire de qualité.
En effet, cette ambiance post-apocalyptique, dans un métro moscovite en proie aux guerres fratricides, où chaque station est synonyme de ville ou d'entités, est un vrai plaisir à parcourir. De surcroît lorsque l'on retrouve des personnages connus, découverts dans le précédent jeu ou dans les livres, et des ennemis dépeints sans concession, ou la justesse des factions n'aura d'égal que la mise en exergue des idées les plus basses de leur idéologie. Enfin, les graphismes, bien qu'un peu « vieillots » à l'heure où j'écris ces lignes, et une volonté de réalisme avec les différents effets visuels mis en scène sur notre masque à gaz, viennent renforcer cette immersion souterraine.
Malheureusement, toutes ces bonnes notes seront ternies par un gameplay aux fraises. Si le jeu propose quelques séquences bien senties et amusantes, la difficulté quasi inexistante à la fois des phases d'infiltrations -- infiltration très souvent risible et sans cohérence malgré une bonne idée de départ avec la gestion des zones d'ombres -- et des phases plus bourrines, les niveaux en extérieur dispensables tant ils sont pénibles, et une gestion des points de sauvegarde complètement foireuse font de Metro Last Light un jeu sans saveur, plus frustrant par les incohérences de développement que par une supposée difficulté oubliée.Publié le 21/04/2020 20:26, modifié le 21/04/2020 20:271 personne a trouvé cette critique utile. -
08/12/2018Cette critique a été rédigée il y a plus de 6 ans.2 personnes sur 2 ont trouvé cette critique utile.Par ChariftribakOkord est un petit bijou de jeu par navigateur !
En évolution permanente depuis xxxx années, l'équipe d'administrateurs constituée de dev et de MJs anime et fait émerger continuellement des nouveautés en terme de gameplay et d'events RP.
Le roleplay justement, c'est ma tasse de thé et je trouve dans Okord pas mal de trucs intéressants.
La communauté est assez mélangée entre pur wargamers et roleplayers, le tout se tient plutôt bien.
Tiens... en parlant de RP, et si vous commenciez tout de suite l'aventure ? !
Votre intendant frappa à la porte de votre boudoir et entra.
Sire, une missive pour vous. Une missive du Roi de la Province d'Estybril !
Bien le bonjour futur chevalier ou Dame d'Okord !
Vous voilà bientôt à la tête d'un fief et de sa population.
Que vous soyez issu d'une lignée de seigneurs ou d'extraction populaire, vous devez sans doute avoir besoin d'aide et de soutien.
Sachez que je serais, moi même ou mes vassaux, très heureux de vous accueillir dans notre grande famille.
N'hésitez pas à nous demander main forte.
[...]
Bon courage.
Respectueusement,
Comte Hector Mayer, Polémarque d'Estybril2 personnes ont trouvé cette critique utile. -
29/09/2018Cette critique a été rédigée il y a plus de 6 ans.1 personne sur 1 a trouvé cette critique utile.Age of Conan reste un très bon jeu et a encore une bonne communauté de joueurs soit français, soit européens (anglais ou allemand) . Les graphismes et les aminations sont réussis : les régions sont variées et les mouvements de personnages semblent réalistes.
La bande son et la musique sont très réussies et renforcent bien l'ambiance du jeu : la musique dans la vallée de Conall est superbe !
Les instances et les raids PVE sont variés et nombreux : les tactiques pour réussir la partie PVE sont intéressantes et pas évidentes à trouver soi-même. Il existe des raids T6 et depuis peu, un système de recherche de groupe pour les raids.
Le PVP existe encore sous la forme de BG : les combats sont nerveux et variés.
Les quêtes et les différentes régions rendent le leveling agréable. Il y a un système de points de vue à trouver sur toutes les cartes pour voir toute la zone vue du ciel.
Le système de combats basé sur des combos reste à ce jour novateur. Les classes de combattants au corps à corps sont sympa à jouer.
Age of Conan est un jeu complet et il y a pas mal de choses à faire.1 personne a trouvé cette critique utile. - Afficher les critiques suivantes