Atlas automatise ses corps de ferme et entrepôts, pour encourager le PvP

Depuis maintenant quelques mois, l'équipe de développement d'Atlas entend encourager les joueurs à s'affronter. Pour les libérer des actions les plus répétitives, des fermes et entrepôts peuvent maintenant récolter les ressources d'artisanat.

Depuis maintenant quelques mois, les équipes du studio Grapeshot Games entendent encourager les affrontements entre joueurs dans l’univers d’Atlas et notamment sur ses océans. Dans cette optique, le développeur a déjà fait évoluer la carte (maritime) du MMO de pirates et les dernières mises à jour doivent manifestement libérer les joueurs de certaines contraintes – et donc leur laisser davantage de temps pour se taper dessus.

Entrepôt

Fin juillet, Grapeshot Games imaginait ainsi l’ajout de corps de ferme dans l’univers de jeu, notamment à destination des joueurs férus d’artisanat. Une fois construit, le corps de ferme a notamment vocation à récolter automatiquement les ressources alentour pour en assurer un traitement manufacturé – seul inconvénient, la production agricole de la zone est sensiblement réduite quand la ferme s’accapare les matières premières d’un lieu.
Ces fermes ont néanmoins un inventaire réduit (30 slots) et ne peuvent stocker qu’un volume limité de ressources en termes de poids (8000 unités).

Pour y remédier, les équipes de Grapeshot Games y ajoutent maintenant un système d’entrepôts, susceptibles d’être couplés à des fermes. En d’autres termes, la production des fermes alentour (dans un rayon de 500m) sera automatiquement stockée dans un entrepôt de grande capacité, de 40 slots, pour un poids total de 50 000 unités. Les joueurs les plus ambitieux pourront coupler plusieurs fermes et plusieurs entrepôts, pour peu que les distances entre les bâtiments soient respectées.

Et que ce soit pour les corps de ferme ou les entrepôts, le développeur affiche clairement ses ambitions : automatiser ces activités de collectes et d’artisanat pour que les joueurs puissent plus aisément s’aventurer en haute mer – pour, le cas échéant, y faire des rencontres explosives.

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