Critiques de Lodano

  • 2 sept. 2011
    /!\ Cette critique a été rédigée il y a plus de 12 ans.
    Par Avatar de Lodano Lodano
    Cabal-online a pris un tournant majeur en 2010 lorsque ESTsoft (le développeur) a permis à Gameforge 4D (distributeur allemand) de diffuser le jeu en allemand, français, italien et espagnol. Le PvP a été largement développé, avec son système de war (façon league of legend) proposé en avance par rapport aux softs concurrents et de nombreux donjons et nouvelles cartes ont été ajoutés.

    Ainsi, les notes attribuées au soft "PvP (solo et groupe) ", "Traduction", "Gamemastering" et "support" sont surtout représentatives de la version EU du soft (anglophone) mais peuvent varier selon la distribution.

    Malgré un énorme ajout de contenu depuis l'épisode 5 (qui devrait se poursuivre lors de l'épisode 6) , on peut déplorer toutefois que la difficulté clairement dévaluée en PvE a contribué à réduire l'intérêt de certains donjons (l'objectif du développeur était de permettre aux joueurs d'atteindre plus rapidement les niveaux nécessaires au PvP).

    Mais malgré ce bémol, Cabal Online reste fidèle à ses principes : on plonge immédiatement dans l'action. La conception d'un personnage ne prend pas beaucoup de temps et ne fourmille pas d'options, on choisit sa classe et une apparence préconçue et on part tout de suite au combat. Son système de combo (dès le niveau 30) donne beaucoup de dynamisme à l'action. Dès le niveau 50 le PvP devient central en menant des "wars" jusqu'à 100 contre 100. Les donjons deviennent très prenant à partir du niveau 120 lorsque les boss ont chacun leur particularité et ne se tuent pas par un vulgaire bashing, ou encore les boss des cartes pk que l'on atteindra qu'en éliminant les joueurs de la faction ennemie avant. Le jeu permet de monter jusqu'au niveau 180.

    Le jeu vise un public qui veut se plonger directement dans l'action sans perdre de temps sur tout ce qui est accessoire au PvP, au risque de décevoir les fans de relooking de personnage ou d'artisanat (qui ne sont pas inexistants pour autant, simplement moins prononcés).
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