Et voilà, il fallait bien que ça arrive un jour...
Il cherche quoi exactement le lead game designer ? A nous pondre un dofus v3 ? Après que celui-ci (dofus) se retrouve en 2 parties (farm lvl max puis go Kolizée), ils s'attaquent à Wakfu ? Rajouter des zéros ne changera rien, sauf rajouter un écart encore plus flagrant entre riches et pauvres ( l'IRL ne suffit-il pas à montrer l’exemple ?) Prenons un exemple :
- Item casque perlouze à 2000 Kamas sera demain à 20.000, point.
La communauté n'ira pas chercher plus loin que çà.
Cette refonte est surtout un prétexte pour répondre aux ouin² des pyj' trop feignants pour aller chercher des ressources nécessaires à se faire du blé ou veulent avoir tout, tout cuit dans le bec. Le gros soucis est souligné dans l'avis de Sleg, c'est pas plus compliqué que çà (oui c'est pas en nous sortant un pauvre item "légendaire" lvl 100 unique qui va changer la donne).
Et pourtant je ne suis pas de ces gros farmers nolife (j'ai un job, une vie IRL, etc etc...), j'ai limite besoin de me faire un planning et pourtant j'arrive, un peu tout les jours, à me faire un petit pécule et même à fournir à la guilde.
Et le principe de guilde aussi, ça aide. Chez nous on a ce qu'il faut, des gens sympas, des crafteurs, des dropeurs... Tout ce qu'il faut pour que les membres s'en sortent sans se sentir pauvres ou délaissés.
Et puis, comparé à Dofus, Wakfu est jeune et son BG indique bien une refonte du monde. Cet esprit "moyen-âgeux" avec des kamas qui n'ont pas une petite valeur c'est sympa, je me sens pas gros bourgeois à me trimballer avec des coffres de kamas mais une bonne bourse bien pleine.
Quant à la feature kamas sur boss : Non, non et non. Mais je connais déjà la réponse : le 3/4 des gosses vont prendre le dessus et on l'aura quand même. Après tout on va pas refuser ce que demande le gagne-pain ?
Je ne suis pas énervé, qu'on se le dise, mais des fois j'envie la place du troll qui s'était vu offert 24 ou 48h aux studios par Tot pour voir comment cela se passe lors de leurs réflexions (et vérifier ce que l'on m'a rapporté de l'intérieur).