La Lettre de JeuxOnLine - March 2015

Lancement de notre section Overwatch

Nous sommes heureux et fiers de vous annoncer aujourd'hui le lancement sur JeuxOnLine de notre univers Overwatch !

Sans plus attendre, je cède la parole à Helburt, coordinateur de ce nouvel univers JOL !

L'univers Overwatch de JeuxOnLine est heureux de vous présenter aujourd'hui notre site consacré à la nouvelle licence signée Blizzard.

Pour rappel, Overwatch est un FPS multijoueur dans lequel deux équipes de joueurs s'affrontent pour accomplir des objectifs (il existe actuellement deux modes de jeux différents). Le cadre est notre monde, dans le futur, après une terrible guerre contre des robots qui a vu émerger une nouvelle génération de héros, des personnages hauts en couleur n'ayant rien à envier aux super-héros de comics.
À l'instar d'un MOBA, les joueurs peuvent choisir des héros possédant des capacités uniques. Ils ont également la possibilité d'en changer à chaque fois qu'ils se font tuer.

Nous avons pour but d'assurer le suivi du jeu afin de vous fournir le plus d'informations possible, et dans les délais les plus brefs.

Je tiens à remercier particulièrement Agahnon et Le Vagabond pour tout le travail qu'ils ont accompli, le premier à la rédaction, le second au graphisme. Je remercie également tous ceux qui devraient me suivre dans cette aventure, comme Nathos, Memento Morri et Eolan. Il est inutile de préciser que la section cherche toujours des volontaires. Le monde a toujours besoin de héros... Rejoignez JOL-Overwatch !

Pendant une quinzaine d’années, le studio Sony Online Entertainment s’est imposé comme l’un des principaux acteurs de la scène MMO occidentale -- incontestablement l’un des pionniers du genre, sans doute l’un des principaux développeurs de MMO aux Etats-Unis et traditionnellement le « meilleur ennemi » de Blizzard (les deux studios ont souvent adopté des stratégies très différentes, mais toujours en s’observant manifestement attentivement).
Début février, Sony Online a tourné une nouvelle page de son histoire (et pas des moindres) : le studio s’est émancipé de sa maison-mère Sony, pour évoluer dorénavant de façon « indépendante » (dixit John Smedley, le CEO historique de SOE) et prendre le nouveau nom de Daybreak Game Company, cette fois adossé financièrement à un fond d’investissements, Columbus Nova, très actif dans l’industrie des nouveaux médias.

Ce n’est pas la première fois que la société de John Smedley connait ce type de virage drastique. C’est même à l’occasion de l’un d’eux que Sony Online est né concrètement.
On le sait, l’histoire du studio débute avec l’association de John Smedley (alors fan de Donjons et Dragons sur table et faisant déjà montre d’un certain sens des affaires -- sa première vocation consistait déjà à éditer des jeux indépendants au tout début des années 1990) et Brad McQuaid, déjà concepteur et développeur de jeux en ligne (notamment des MUD). Dans les années 1990, le duo fonde Verant Interactive et s’attèle au développement d’EverQuest.
Le MMORPG sera lancé en 1999 et John Smedley, qui travaille aussi déjà avec le groupe Sony (chez Sony Interactive Studios America), orchestre le rachat de Verant par le groupe japonais en 2000. Une première évolution majeure qui, en quelques années, donnera une envergure internationale au studio et permettra de faire d’EverQuest l’un des pionniers du MMO moderne (EQ comptera rapidement davantage d’abonnés qu’Ultima Online, pourtant lancé deux ans plus tôt) ou d’initier le développement de MMO majeurs au sein de son pôle « jeux premium » -- des titres comme Star Wars Galaxies (s’appuyant sur l’une des plus grosses licences du moment) ou plus tard PlanetSide qui posera les bases du MMOFPS.
Au sein du groupe Sony, SOE est néanmoins aussi en charge du développement de jeux en ligne plus [em]casual[/em], qui seront distribués sur les consoles portables du groupe ou plus tard sur le PSN. Une activité qui portera l’une des prochaines évolutions à venir de SOE.
Alors que Blizzard s’impose sur le leader incontesté de la scène MMO (au cours de la deuxième moitié des années 2000, Sony Online est irrémédiablement détrôné et EverQuest 2 n’a pas fait le poids face au rouleau-compresseur World of Warcraft), John Smedley initie un nouveau tournant : très tôt, il a l’intuition que le jeu casual a de l’avenir et il entend faire de SOE une « société familiale faisant des jeux pour la famille » (avec notamment l’ambition de toucher un public féminin alors délaissé par une industrie du MMO qui s'adresse à 85% des joueurs masculins). C’est à cette époque qu’il initie le développement de FreeRealms, Legends of Norrath et Pox Nora, de Clone Wars Adventures ou encore Fortune League et Wildlife Refuge... Des jeux familiaux et accessibles qui fermeront pour la plupart, tout comme Star Wars Galaxies fin 2011 (SOE perd la licence Star Wars au profit d’Electronic Arts qui signe Star Wars The Old Republic) et c’est la même année que le studio annonce le licenciement de plus de 200 de ses salariés, dans la foulée de la fermeture de ses bureaux de Denver, Seattle et Tucson.
Dans ce contexte plutôt morose, le studio fait l’objet d’une nouvelle évolution majeure : John Smedley mise sur le free-to-play. Dans une déclaration qui fera date, le CEO annonce que Star Wars The Old Republic (l’un des MMO les plus chers de l’histoire) « sera le dernier MMO à abonnement » et que l’avenir appartient au free-to-play. L’avenir lui donnera partiellement raison : le jeu free-to-play domine en effet aujourd’hui le jeu payant, même si plusieurs MMO à abonnement seront lancés avec succès (commercialement) après SWTOR... Une prophétie qui pousse John Smedley à faire basculer tout le catalogue de SOE vers un modèle free-to-play.
Ce changement de modèle est marquant, mais impose aussi des choix drastiques : pour exploiter des jeux « gratuits », il faut en lancer de nouveaux régulièrement et dont le développement ne coute pas cher. SOE initie alors le développement de son moteur Forgelight : un vrai moteur de MMO qui doit permettre de réaliser de vrais jeux massivement multijoueurs, mais à la chaîne. PlanetSide 2 sera l’illustration de la première mouture du moteur, qui fait presque figure de démo technique (le jeu évolue très peu en termes de gameplay par rapport au premier opus -- le projet PS2 devait même initialement n’être qu’une refonte graphique du premier PlanetSide) et H1Z1 s’inscrit dans la même lignée (le jeu est conçu en tout juste quelques mois et lancé sans contenu ou presque mais pleinement fonctionnel dans le cadre d’un accès anticipé).
Forgelight apparait incontestablement comme un investissement prometteur au regard de la stratégie du studio (et c’est la promesse d’un EverQuest Next devant réellement renouveler le genre massivement multijoueur mais qui reste en développement depuis des années après deux refontes complètes). Mais pendant le développement de Forgelight, puis d’EQ Next, SOE se contente peu ou prou d’exploiter ses MMO historiques et d’éditer les jeux de développeurs tiers. Des activités qui se prêtent aisément à la philosophie free-to-play du studio, mais qui rapportent relativement peu.

Manifestement, Sony Online accumule des pertes chaque trimestre, précisément à une époque où la maison-mère Sony est non seulement en quête d’économies mais affiche aussi la volonté de renoncer à ses activités sur PC pour se focaliser exclusivement sur ses consoles. Sony Online n’y survivra pas : le studio est vendu à qui en veut.
La vente de feu Sony Online reste très nébuleuse. John Smedley, dont on connait le sens des affaires, parvient néanmoins à s’attacher le soutien financier du groupe d’investissements Columbus Nova, et feu SOE devient donc Daybreak Game. Mais à quel prix ? Pour que le (nouveau) studio survive, John Smedley doit faire des économies de fonctionnement drastiques et plusieurs cadres historiques de Sony Online sont licenciés (ceux, dit-on, qui coutaient le plus chers au studio, mais aussi ceux qui retrouveront le plus facilement un emploi), au point que l’on s’interroge aujourd’hui sur l’avenir de Daybreak Game.
On ne préjugera évidemment pas de l’avenir. Mais les optimistes pourront considérer que Daybreak Game est aujourd’hui à la tête d’un moteur efficace et qu’après des années de développement, le studio pourrait être en mesure de toucher les fruits de son investissement. En face, les pessimistes souligneront qu’un moteur sans contenu n’est pas grand-chose (même à l'heure où le sandbox est à la mode) et que le départ des principaux créatifs de feu SOE n’est pas un signal positif.
On se gardera de tout pronostique, mais malgré une vie chaotique et ponctuée de révolutions successives, Verant puis SOE et maintenant Daybreak se sont imposés, contre vents et marées depuis quinze ans, comme des acteurs majeurs de la scène MMO. Fort de l’expérience des équipes en place (d'un sens des tendances et de l'innovation, contrairement à bon nombre de ses concurrents plus frileux), on imagine que le studio a encore quelques cartes à jouer dans les années à venir.

En cas de litige avec un modérateur, la Coordination est là pour vous aider.

Nous souhaitons cependant rappeler que vous devez, avant de nous contacter, avoir essayé de discuter avec le modérateur concerné ainsi que son Responsable de Modération et/ou Responsable de Section. Si vous n'êtes pas satisfait des réponses qui vous ont été données, vous pouvez alors décider d'impliquer la Coordination via ce formulaire.

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Mi-décembre dernier, le tout jeune studio ArtCraft Entertainment (mais fondé par des vétérans de l’industrie du MMO -- Gordon Walton, qui a contribuer à poser les bases d’Ultima Online, du gampelay social de The Sims Online ou encore des mécaniques de Star Wars Galaxies, et Todd Coleman, le papa de Shadow Bane) annonçait le développement de Crowfall. Durant environ deux mois, le studio s’est attaché à présenter son projet et les idées exposées ont manifestement su séduire les joueurs : un jeu qui appuie ses mécaniques sur les canons du MMORPG (un monde dynamique et évolutif, de vraies interactions entre les joueurs) et emprunte tout autant sa forme aux jeux de stratégie (des campagnes temporaires, durant quelques mois, jusqu’à ce qu’un groupe joueur s’impose sur les autres et qu’un vainqueur soit désigné).
Le 24 février, le studio ArtCraft lançait une campagne de financement participatif et espérait récolter 800 000 dollars pour pérenniser le développement de Crowfall. En trois jours, l’objectif était atteint (et la somme progresse toujours).

Après un mois d'absence (j'avais complètement oublié), voici le retour de la lettre de la section JoL Dota 2.

Nos projets :

The International 2015 approche, il faut se préparer. Pour ce faire, nous collaborerons avec dota2.fr (KassGrain) pour proposer des articles aussi complets que possible. Le résultat ne se verra qu'en mai, il n'est cependant pas inutile d'évoquer cela dès maintenant : si vous souhaitez contribuer, signalez-vous !

Pas de lettre ce mois-ci, l'équipe de la section est trop occupée à jouer au Triple Triade.

Et c'est ainsi que fini le mois de le plus court de l'année.

Un mois peu mouvementé dans les Terres du Milieu, sûrement lié au fait que Boston (siège de Turbine) ait eu un petit air de Forochel.

• Des modifications sur Béornide (compétence et équilibrage)
• Des corrections de bugs sur la Grande Bataille "Reconquête du Pelagir"
• Les menaces errantes sont maintenant disponibles en Angmar, Forochel, Gondor Ouest et dans les Monts Brumeux.

• Les Menaces errantes deviennent plus coriaces.
• La reconquête du Pelagir (à six joueurs) se voit corrigée.
• Les défis de l'école de Tham Mirdain, Ost Elendil et Glinghant, ont été corrigés.

• Un défilé avec Barbarela
• A la recherche du Nouvel Elessar
• La soirée Rock du 1er Mars
  
• Les Chantefables ont également joué sur Landroval

• On attend des nouvelles sur le retour des serveurs européens en Europe
• Sur la prochaine grosse mise à jour Osgiliath et sa probable nouvelle carte JcJM
• L'implémentation du nouveau système de musique

L'actualité Pokémon est très calme depuis la sortie des jeux Saphir Alpha et Rubis Oméga fin novembre 2014. Alors que les fans attendent le prochain jeu qui, si on suit le programme des dernières années, devrait être dévoilé bientôt, Game Freaks répond en distribuant des Pokémon attendus depuis longtemps.

Ainsi, les Pokémon de départ de la 2ème Génération, à savoir Germignon, Héricendre et Kaïminus, viennent d'être distribués avec leur Talent Caché. S'il s'avère inutile pour le premier et relativement intéressant pour le second, c'est une véritable aubaine pour le troisième qui donnera des Aligatueur tout bonnement redoutables.

Bonjour à tous, citoyens des étoiles !

Vous l'avez peut-être remarqué, le fan site JOL-SC a fait peau neuve et nous inaugurons par la même occasion notre participation à la Newsletter mensuel de JeuxOnLine. Le contenu du fansite est encore en cours de rédaction, mais vous y trouverez une série d'articles explicatifs sur l'avancement du développement du jeu, des guides sur ce qui est déjà disponible et des articles sur le background et l'univers du jeu.

Pour notre première participation à cette newletter, je vous propose de faire le point sur le jeu.

Qu'est-ce que Star Citizen ?

Star Citizen est un projet de MMO de "simulation spatiale" initié par Chris Roberts, le père de la série des Wing Commander et de Freelancer. Se heurtant au refus des éditeurs de soutenir un genre moribond (le space sim') sur un support mineur (le PC) Chris Roberts se tourna vers le financement participatif fin 2012. La suite vous la connaissez probablement : après avoir battu le record du plus gros projet en financement participatif, tout genre confondu, Star Citizen est maintenant en stade d'Alpha, pour une sortie prévue en 2016 et sera entièrement auto-édité par le studio créé à cette occasion : Cloud Imperium Games.

Plus concrètement, Star Citizen se veut un MMO permettant aux joueurs de faire leur propre carrière dans l'espace. Mineur, mercenaire, explorateur, chasseur de prime, pilote de course, contrebandier de nombreuses autres activité seront proposées. Il sera accompagné d'une campagne solo scénarisée (Squadron 42) dans la lignée des Wing Commander, et comportera un gros pan de jeu de tir à la première personne permettant de sortir à pied explorer les villes, les stations ou les épaves.



Star Citizen mise beaucoup sur l'immersion, la coopération ou les affrontement entre joueurs. Il n'y aura pas de système de progression par expérience ou compétence. Le gameplay de pilotage jouera un rôle important et les plus gros vaisseaux demanderont une dizaine de joueurs à des postes spécifiques pour être manœuvré.

D'un point de vue technique, le jeu se base sur le CryEngine 3 (CIG à embauché certains transfuges de chez Crytek) et sera disponible uniquement sur PC. Le modèle de vol des vaisseaux n'est pas prédéfini, mais calculé en temps réel en fonction de la masse du vaisseau, de l'emplacement des propulseurs, de leur puissance, orientation, état etc. Concernant le multijoueur, le jeu se basera sur un serveur unique dispatchant les joueurs de façon transparente dans des instances d'une centaine de personne pour gérer les interactions entre eux. Les joueurs représenteront 10% de l'activité de la galaxie, ce qui leur permettra d'influer localement sur l’économie sans pour autant la déséquilibrer trop longtemps.

Découvrez la bande annonce "Imagine" de Star Citizen

Suivre le développement

Du fait de son mode de financement, CIG communique beaucoup et implique énormément la communauté. Aussi, afin de vous aider à y voir un peu plus clair et suivre l'actualité, Khalzaam et moi même, vous proposons toutes les semaines le Journal Orbital de Lagrange, qui condense les annonces officielles de la semaine, ainsi que les réalisations des fans. De plus tous les mois nous publions le résumé de l'activité de la période écoulée. Vous pouvez déjà consulter l'article sur le mois écoulé. J'en profite pour remercier Hotaru, de la communauté starcitizen.fr pour le partage de leur travail, ainsi tous les traducteurs de JoL qui participent ou ont participé aux traductions de haute qualité des textes publiés par CIG.

La sortie du jeu est prévue pour l'année 2016, mais comme tout MMO, ce n'est qu'une étape dans l’évolution du jeu. D'ici là les différents pans de Star Citizen seront soumis, sous forme de modules, aux test des joueurs ayant participé au financement.

Le premier module baptisé Arena Commander à été déployé en v1.0 fin 2014 et permet de tester le modèle de vol, les combats, l’équilibrage et les courses dans une zone restreinte et sur différent mode jeu. La v2.0 est prévue pour cet été et devrait comporter les vaisseaux plus gros demandant un équipage.

Le second module qui devrait voir le jour ce printemps concerne la partie FPS du jeu et devrait reposer sur le même principe.

Les prochains modules, prévus pour cette année, comportent la partie sociale et planétaire du jeu (sortir du hangar, visiter les viles) et la partie univers persistant. (décoller/atterrir des planètes, traverser les systèmes solaire, commercer, explorer)

Enfin les premières missions de la campagne solo devraient être disponibles cet été.

Les joliens dans l'espace !

L'alpha du jeu étant suffisamment stable, chaque Lundi nous organisons depuis quelques mois des sessions de jeu que vous pouvez suivre en direct sur la chaine Twitch de JOL-TV. Du au nombre limité de places, les inscriptions se font sur le fil dédié.

Un exemple de dogfight en mode "bataille par équipe".

Si vous avez des questions sur le jeu ou ce qui s'y rattache, n’hésitez pas à passer sur la section Star Citizen du forum JOL.

• le système champion ;
• le système judiciaire ;
• le marché ;
• la refonte de la cuisine ;
• les ajouts divers .

Ce mois-ci, c'est bien sûr la version 6.1 qui nous aura intéressés.
Des choses intéressantes, d'autres moins... chacun ira de son avis.





C'est donc l'arrivée de la version 6.1 qui aura occupé les joueurs en cette fin de mois.
Objectivement, on aurait probablement pu en attendre davantage... un donjon par exemple ?

On pouvait retrouver d'ailleurs une vidéo de présentation de cette nouvelle version.