Heureusement que la brigade du temple est là pour rappeler comment un débat peut vivre. Grâce à elle, nous savons donc tous maintenant que pour qu'un débat soit intéressant, il faut proscrire les "je pense que...", bannir l'humilité, et remplacer le tout par des phrases péremptoires et des jugements définitifs.
Non mais vous vous relisez parfois avant de poster ?
L'opinion est trop souvent un refuge confortable.
Erreur, l'opinion
publique est un refuge confortable, se faire sa propre opinion est le premier pas vers un début d'intelligence. Et savoir tolérer les opinions différentes, et relativiser la sienne propre est le minimum syndical pour qu'un débat ait lieu.
Todd W, je suis ravi si les quêtes du DK t'ont semblé riches, intéressantes, profondes...
Moi je n'ai rien vu qui demande de la réflexion, pas la moindre amorce de choix, pas la moindre alternative, aucune créativité, aucun challenge. Ces faits forment mon premier argument.
Aillant refait un second DK, j'ai passé le plus vite possible cette intro, qui ne possédait plus aucun intérêt
pour moi. Le plaisir spectateur ressenti lors de sa découverte n'est plus, et si j'aime relire de bons livres, revoir de bons films, et même si je reconnais bien volontier que côté réalisation, Bli2 est un champion, j'ai plus bandant sous la main que de revoir encore une fois exactement la même séquence de jeu. C'est mon deuxième argument.
Cette magnifique intro, comme d'ailleurs 99% de wow, est un moment de jeu SOLO. Il l'est même encore davantage que le reste du jeu, merci au phasing et à son utilisation pour le moins critiquable en l'état. C'est donc mon troisième argument, si au moins dans ce MMO l'intro DK tirait partie des interactions entre joueurs, introduisait une quelconque notion de coopération, ou, pis allé, de compétition,
j'aurai pris plus de plaisir à la jouer et à la rejouer.
Vous êtes gentils les canards, mais votre conception du débat, c'est affirmer "j'ai raison", en rabâchant des arguments qui n'en sont pas.
C'est ça un débat, on y affronte des idées...
On y
confronte des idées, on ne les affronte pas, les pauvres, elles sont rares et fragiles