la moitié des compétences sont inutiles (et je suis gentil)
la moitié de 1000 c'est toujours plus que 50, (dont également la moitié sont inutile btw)
que l'histoire est un couloir
l'histoire se jouait en équipe et non pas en solo, avec de vrai challenge par moment comme donjon chef tonnerre à son époque ou je suis resté bloqué plusieurs semaine, l'histoire était pleine de rebondissement, pour spoil:
On se fait détruire sa ville par une armée chaar, on se réfugie dans le pays voisins, on les aides à chasser des rebelles, on se rend compte que c'est les rebelle les gentil qu'on décide alors d'aider, on se fait chasser par cet état on se réfugie dans une jungle puis on leurs vole un sceptre magique que l'ont remet à un allié, puis on va faire notre ascension, enfin on revient combattre cet état qui s’avère dirigé par des démons et qui sont allié avec une faction naine, on tue le dictateur nain puis on va affronter les démon dans leurs royaume, ou l'ont se rend compte que l'allié à qui l'ont a remis le sceptre est en fait la liche qui règne sur ces démons.
même en prenant plein de raccourci et en massacrant le bg on peut pas faire moins que 5 lignes, c'était pas juste "allez tuer un dragon"...
que le PvP était élitiste dans le mauvais sens
L'élitisme n'est pas un mal, les gens qui font partit de cette "élite" en sont fier, cette fierté les motive à poursuivre. Pour tout les autres ça leurs donne un objectif à atteindre et ils savent pourquoi ils s’entraînent.
Quand j'ai commencé je me fessais dégager de tout les groupes, je passais mes soirée à mendier une place et à mentir sur mon rang pour être groupé, et quand j'ai arrêté j'était obliger de me mettre en NPD pour pouvoir jouer sans ce flot ininterrompu de MP d'invitation de groupe... C'est l'évolution qui est intéressante et c'était exactement le cœur du jeu: se faire une réputation, se créer un réseau. J'ai retrouvé ce principe "d’ascension sociale" dans aucun jeu, et je pense que c'est ça qui laisse un excellent souvenir à tout les nostalgiques, comme pour wow vanilla d'ailleurs.
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