Ce... ces textes sont surréalistes.
C'est marqué dès le début, cet événement a été rendu possible par Anet, mais a été fait à l'initiative des
joueurs (forcément égoïstes et qui ont demandé pour se donner bonne conscience).
Comment on peut par la suite descendre Anet avec des arguments de mauvaise foi sans pareille "Ouais, y'avait qu'à créer des objets" ? A quand "Putain, quels salauds chez Anet, ils ont pas reversé une partie de leur CA aux victimes de toutes les catastrophes naturelles (ou humaines, d'ailleurs" ? Si vous sentez l'âme d'un grand humaniste, rejoignez une association caritative.
Surtout quand Loic Claveau insiste bien "Ce n'est pas la valeur qui compte, mais l'intention".
En clair, avant l'objet, il y a un "contact" social.
Dire que certains se livrent après à de savants calculs sur le temps passé... Ben oui, évidemment, la compassion, ça se mesure, c'est précis, c'est scientifique, et il est bien évident qu'une personne qui pense à quelqu'un pendant dix secondes vaut infiniment moins que celle qui y pense pendant dix minutes.
Bien hypocrites sont ceux qui se révoltent en poussant des cris de vierges effarouchées "Donner des cadeaux Hivernel à des personnes qui ont peut être une famille qui a perdu leur toit, voire la vie, c'est dégueulasse !".
Ah oui, et parmi ceux-là, qui a sorti la carte bleue ?
Pour finir :
Nos dons servent à quoi concretement ?
ils veulent dire quoi ?
Concrétement, ils ne servent à rien, c'est un objet virtuel.
Et leur signification ne vaut que celle que tu veux bien leur donner.
Si tu juges cela inutile, ben abstiens-toi de participer la prochaine fois, c'est tout.
Menou, il me semble que c'est justement toi qui confonds charité et compassion. Il n'est pas besoin de donner un présent de valeur auquel tu tiens tant pour éprouver de la compassion.
Note : pour me descendre, vous pouvez utiliser les arguments que je n'étais pas présent à cet événement, et que je n'y serais pas allé quand bien même j'aurais eu des présents d'Hivernel (faciles à obtenir si je l'avais vraiment voulu soit dit en passant, ça s'achète, non ?) et si j'avais eu la disponibilité matérielle d'être présent. Un vrai salaud, en somme.