Publié par mr.cos
En gros on a juste le droit de dire qu on aime?
Enfin bref ...
Imagine que tu vas voir un film, avec un type qui se bat dans une ville, et une fille qui a des super yeux. Ca te plait bien, la ville est bien exploitée comme décor, et la fille vraiment superbe
Ils sortent une suite, en prévenant qu'il y en aura d'autres, qu'ils gardent la fille pour les suites, mais que le héros va chaque fois voyager dans une nouvelle ville, une ville différente par film. La tu peux tout a faire raler sur le principe, la fille a des jolis yeux mais tu boudes qu'ils aient décidés de changer de ville.
Tu vas le voir, ca te confirme dans l'idée que tu péferais la premiere ville mais que la fille est bien, tu rales encore un peu qu'ils ont fait un choix qui ne te plait pas du tout
Ils sortent le 3 en s'en tenant a leur principes, nouvelle ville mais la meme fille. Ca vaut déja moins le coup d'en faire toute une histoire, c'était prévu. Ca ne te plait toujours pas, mais tu le savais d'avance et tu as quand été le voir
Ils sortent le 4, tu y retournes encore et tu constates qu'ils s'en tiennent toujours a leur principe.
Et puis le 5, idem.
Voila le 6 qui est annoncé, et sans surprise, comme annoncé depuis le début, comme chaque fois, c'est encore une autre ville.
Le quantième est-ce qu'il faudra attendre pour que tu te lasses de bouder qu'il y a un changement de ville a chaque fois?
Il n'y a bien sur aucune obligation d'aimer, et quelqu'un pourrait venir "rah, c'est nul, ils n'ont pas encore passé le jeu ne full pve, ils ont encore laissé cette idiotie de rvr" par exemple (apres tout, personne n'est obligé d'apprécié le rvr non plus) ou venir "ces idiots ont encore laissé le concept de 3 royaumes, alors qu'il faudrait passer a 9" , mais on va avoir tendance a lui répondre "heu, mais ca fait 4 ans que c'est annoncé que ca sera comme ca"
Il y est bien sur toujours possible d'avoir envie de signaler qu'on est mécontent au bout de la 40ieme fois (meme si je doute que daoc tienne encore 35 ans
) mais tes interlocuteurs vont avoir tendance a considerer que le débat a déja eu lieu, et que ca ne sert pas a grand chose de réaborder le sujet