Aucune idée de la méthode avec laquelle sont créé les serveurs officiels (qui diffère certainement de celle utilisé pour les serveurs privés, du moins j’espère parce que des fois ça fait un peu "bricolage") mais ce qui m’effraye le plus, c'est que si je comprend bien l'article, l'ESA laisse entendre que les codes sources (= logiciel = calcul, en opposition aux data?) serveurs sont plus ou moins interchangeable d'un jeu a l'autre...
Jsuis pas du tout acteur du secteur et j'ai pas du tout de connaissance avec ça, je vais donc partir du postulat (utopiste, mais bon, avec un peu de chance) que l'ESA n'est pas juste une association de crétins qui ne savent pas de quoi il parle, ni de fumistes qui raconte des âneries (pour rester polis) pour garder leurs secrets bien gardés...
Si c'est le cas, pourquoi ne pas simplement bricoler une couche logicielle intermédiaire qui permettrai de faire en sorte d'avoir au final 1 logiciel pour diverses bases de données?
Autre chose, j'ai aussi l'impression que l'ESA, ainsi que de nombreuses personnes dans les commentaires, ont l'impression que les musées laisseront un libre accès depuis l'extérieur aux éventuels serveurs de MMO qu'ils sauvegarderaient...
Ça serait en effet génial, mais... Jsuis surement pas le seul a me dire que, ne serai-ce que le maintient ONLINE de 4/5 titres, ça créerai des coût en terme de connexion internet quand même vachement important a l'échelle d'un musée... Ou que la qualité de connexion sera alors dégueulasse a l'échelle du joueur, au choix.
Ha! par contre je l'ai vu apparaître plus haut dans un commentaire...
J’espère que c'est clair pour tout le monde qu'un jeu en fin d'exploitation n'a pas de support, du tout, on est d'accord, hein? Plus de résolution de bug, plus de GM qui font la police, plus de service client, plus rien, aucune chance de contacter qui que ce soit pour quoi que ce soit... Grosso modo, plus aucune règle (parce que revez pas, un musée payera jamais quelqu'un pour faire la police dessus)
Ca vous dis un serveur publique sans aucune règles de savoir-vivre vous? Moi non.
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