Souvenirs d'un cambrioleur courant après un voleur...
Nous fûmes nombreux à répondre à l'appel de l'Approvisionneur à la scène de Methel.
Il nous exposa tout ce qu'il savait de l'affaire : sa charrette disparue, ses précieux tonneaux envolés, et plus une goutte de bière pour le festival !
L'assistance promis de faire de son mieux et partit enquêter sur les routes de la Comté.
Un informateur fût débusqué caché dans un coin de taverne.
Plus d'un aventurier tentât de l'intimider, mais le nain stoïque ne brochait pas d'un cil.
Seule Maevine réussit enfin à le faire parler, en lui rappelant qu'une étincelle suffirait à faire brûler sa précieuse barbe imbibée d'alcool.
Suivant les indices l'Arbre de la fête fut prit d'assaut (sans la moindre violence).
Un hobbit chargé de l'organisation fût bien alarmé d'apprendre la perte de ses précieux fûts,
et sollicitât l'ingéniosité des aventuriers pour trouver des idées originales pour amuser la foule si la bière devait manquer.
On y dansa, on y fit des acrobaties, énigmes et charades furent déclamées, toutes sortes de talents se firent remarquer.
Prenant un moment de réflexion j'arrivais à concocter une petite charade :
Mon premier est le roi du domaine sylvain
Mon second on en donne dans une chorale
Mon troisième on le servira sur le plat en zozotant.
Mon tout n’est plus à nous.
Et petit à petit chaque groupe pu obtenir une copie d'un parchemin donnant quelques bribes d'indices vers la position présumée du voleur !
Enfin retrouvé, le voleur ne tarda pas à vendre la mèche (bien qu'il fallut lui faire comprendre qu'il risquait gros.... )
et révéla honteusement toute l'étendue de sa gourmandise.
Il fût grondé, puis heureusement pardonné.
Mais les tonneaux étaient bel et bien vidés !
Alors que tout espoir semblait perdu de sauver le festival, un providentiel hobbit fit son apparition ( 1st1 ).
Touché par la mésaventure de l'Approvisionneur, il fit appel à son grand coeur,
et accepta de piocher dans ses réserves personnelles pour que tous puissent être contentés !
Le festival était sauvé !
Nous avions tous le coeur léger, et comme il est de coutume en Comté :
des feux d'artifices furent lancés !
Tout est bien qui fini bien !